Putain!...un autre!
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Putain!...un autre!
Je ne retrouve pas le post sur le sujet(jamais je ne blâmerai un membre de reposter un sujet existant...)
Je parlais du suicide...et de mes anciens confrères de travail qui tombent comme des mouches!
Hében...cette semaine, un autre ...
Ce n'est pas possible!
Des fois ,je me dis que notre peuple est trop gâté , et que l'absence de ''combat'' pour survivre cause notre perte!
Voyons...on se flingue ben trop dans ce foutu pays!
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Re: Putain!...un autre!
Le nombre de ceux qui ont mal dans le dos ou un bras blessé ou n'importe quoi qui les empêche de forcer ça a pas d'allure. J'ai souvent de la misère à trouver un collègue de travail qui est capable de soulever un copieur de 150 ou 200 livres à deux.
Bâti comme un campe mais fort comme une tente.
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Dernière modification par lam129 le sam. nov. 27, 2010 11:24 pm, modifié 1 fois.
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- Doolores
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Re: Putain!...un autre!
Quelle branche?et de mes anciens confrères de travail
Là forcez vs un peu j'ai hâte:
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- Idylle
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Re: Putain!...un autre!
Les gens n'ont pas appris à se battre mais ce qui n'aide pas c'est la prise d'antidépresseurs qui peuvent entraîner des idées suicidaires lorsqu'ils sont arrêtés sans un certain protocole échelonné sur plusieurs semaines. Ça vaut aussi pour les antidépresseurs prescrits pour arrêter de fumer comme le Ziban et un autre dont j'oublie le nom.calimero a écrit :Je ne retrouve pas le post sur le sujet(jamais je ne blâmerai un membre de reposter un sujet existant...)
Je parlais du suicide...et de mes anciens confrères de travail qui tombent comme des mouches!
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Ce n'est pas possible!
Des fois ,je me dis que notre peuple est trop gâté , et que l'absence de ''combat'' pour survivre cause notre perte!
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Donc même les gens qui vont chercher de l'aide risquent d'empirer la situation si on les mets sous médication. Et puis les problèmes financiers pour certaines personnes c'est le bout de l'enfer. J'ai déjà entendu quelqu'un dire qu'il préférerait se suicider que de faire faillite et il était sérieux.
Le voici ton sujet: viewtopic.php?f=22&t=8472&hilit=suicide+travail

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Re: Putain!...un autre!
Doolores a écrit :Quelle branche?et de mes anciens confrères de travail
L'ancien ''services technique'' chez Gaz Métropolitain
- Anne Onyme
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Re: Putain!...un autre!
Tu parlais de gâtés Calimero.
Celui-ci ne s'est pas suicidé.
Société - le 26 Novembre 2010
Enquête Discriminations
Chibanis contrôlés Les retraités immigrés assignés à résidence
Pour être retournés plus de six mois par an au pays, des retraités immigrés se voient exiger le remboursement des prestations perçues au titre de l’allocation de solidarité aux personnes âgées. Reportage à Toulouse. Toulouse, envoyée spéciale.
Au récit de son histoire kafkaïenne, les yeux de Mohammed Mehdi s’embuent de colère, d’amertume et de lassitude. Ce vieil immigré de Toulouse, arrivé en France en 1952, a trimé toute sa vie, loin des siens, restés en Algérie. Des décennies de dur labeur dans les chemins de fer, les travaux publics et mille autres métiers, qui lui ouvrent droit à une bien chiche retraite : 636 euros, complétés, jusqu’en novembre 2009, par l’allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa, l’ex-minimum vieillesse). En juin 2009, la vie de Mohammed Mehdi bascule. Comme les autres locataires du foyer Fronton, à Toulouse, il reçoit alors une convocation de la caisse régionale d’assurance maladie de Midi-Pyrénées (devenue, depuis, la caisse d’assurance retraite et de la santé au travail, Carsat), lui demandant de se présenter avec son passeport. « Ils ont photocopié toutes les pages, en me demandant si j’avais des maisons en Algérie », relate-t-il. Cinq mois plus tard, il reçoit une lettre qui le fait défaillir. La missive l’informe sèchement d’un « trop perçu de 22 885,39 euros » sur dix ans qu’il est sommé de rembourser sur-le-champ. Pour cause de séjours au pays jugés trop longs par l’administration, qui en a relevé la fréquence et la durée par l’examen des tampons sur le passeport contrôlé. Pour percevoir l’Aspa, les retraités doivent en effet justifier d’un séjour de six mois en France. Quant aux prestations sociales gérées par la caisse d’allocations familiales, comme l’aide personnalisée au logement (APL), elles sont conditionnées à huit mois au moins de résidence en France. Des règles qui, théoriquement, s’appliquent à tous. Mais qui s’avèrent, dans les faits, autrement plus rigides et contraignantes s’agissant des immigrés. Comme Mohammed Mehdi, ils sont nombreux, à Toulouse, à faire l’objet de tels redressements de la Carsat, de la caisse d’allocations familiales ou encore de la Mutualité sociale agricole. Ces « chibanis », comme on désigne les vieux au Maghreb, se voient réclamer entre 1 000 et 23 000 euros. Pour l’État, l’économie est ridicule. Pour eux, le fardeau de cette « dette » est d’autant plus insupportable qu’il est alourdi par le poids de l’arbitraire et de l’injustice. « De façon lâche et discriminatoire, on a ciblé une population dont on savait qu’elle assurerait une pêche fructueuse aux inspecteurs de la Carsat », dénonce Jérôme Host, travailleur social à la Case de santé, un lieu d’accueil et d’accompagnement médical ouvert aux vieux immigrés, place Arnaud-Bernard. « Discriminatoire » : c’est aussi le jugement de la Haute autorité de lutte contre les discriminations (Halde). Celle-ci dénonçait, le 9 juin 2009, dans un communiqué, les contrôles de passeports effectués par la CAF auprès des résidents du foyer Adoma (ex-Sonacotra) d’Argenteuil. « Le caractère discriminatoire fondé sur la nationalité est prohibé par la Convention européenne des droits de l’homme », rappelait la Halde, avant de « recommander » à la CAF du Val-d’Oise « des méthodes de contrôle plus respectueuses des droits fondamentaux et du principe de non-discrimination ». Recommandations passées à la trappe ? À la Mutualité sociale agricole comme à la CAF de Haute-Garonne, sollicitées, on fait mine de ne pas connaître le dossier.
« Rien ne justifie cet acharnement contre des vieux vivant dans neuf mètres carrés, seulement coupables d’être allés voir leur famille au pays », tranche Jérôme Host. L’indignation est partagée par les militants du collectif transgénérationnel Justice et dignité pour les chibanis, crée en solidarité avec ces retraités immigrés il y a un an, pendant le festival Origines contrôlées organisé chaque année à Toulouse par le Tactikollectif. Un précieux appui pour les chibanis, qui ont occupé la Carsat de Midi-Pyrénées le 15 mars, battu le pavé en direction de la préfecture le 28 juin et pris part, avec leur propre cortège, aux manifestations contre la réforme des retraites. Une pétition demandant l’annulation de toutes les procédures fondées sur des contrôles discriminatoires et le rétablissement des prestations supprimées (1) a déjà recueilli de nombreuses signatures. En dépit de cette mobilisation, l’État est resté, jusqu’ici, inflexible. La Cram a seulement concédé, avant l’été, un « moratoire » de trois mois sur les dettes contestées. Le temps d’appliquer à ces dossiers des procédures classiques de recours amiable qui se sont toutes soldées par des rejets. « L’assistante sociale me dit de payer petit à petit, mais je ne perçois plus que 636 euros, désespère Mohammed Mehdi. Je me serre la ceinture pour payer le loyer de 383 euros et envoyer un peu d’argent à ma femme et mes enfants. Après ça, il ne me reste rien. Même si on me menaçait de prison, je ne pourrais pas payer. Je n’en dors plus la nuit, je tremble dès que je m’approche de la boîte aux lettres. » À soixante-quatorze ans, le vieil homme ne comprend pas qu’on lui interdise ainsi la quiétude à laquelle il aspire après une vie de travail. Lui continue de prendre part à toutes les mobilisations. D’autres, de guerre lasse, ont finalement opté pour un retour définitif au pays.
Place Arnaud-Bernard, une tente a été dressée toute cette semaine, à l’occasion du festival Origines contrôlées, en solidarité avec ces chibanis. Marteaux piqueurs et pelles en main, les vieux, dans ce théâtre improvisé, miment l’exil, la condition ouvrière… et le mépris de ces institutions qui les désignent comme des fraudeurs, les assignant à résidence.
http://humanite.fr/25_11_2010-chibanis- ... nce-458617
Celui-ci ne s'est pas suicidé.
Société - le 26 Novembre 2010
Enquête Discriminations
Chibanis contrôlés Les retraités immigrés assignés à résidence
Pour être retournés plus de six mois par an au pays, des retraités immigrés se voient exiger le remboursement des prestations perçues au titre de l’allocation de solidarité aux personnes âgées. Reportage à Toulouse. Toulouse, envoyée spéciale.
Au récit de son histoire kafkaïenne, les yeux de Mohammed Mehdi s’embuent de colère, d’amertume et de lassitude. Ce vieil immigré de Toulouse, arrivé en France en 1952, a trimé toute sa vie, loin des siens, restés en Algérie. Des décennies de dur labeur dans les chemins de fer, les travaux publics et mille autres métiers, qui lui ouvrent droit à une bien chiche retraite : 636 euros, complétés, jusqu’en novembre 2009, par l’allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa, l’ex-minimum vieillesse). En juin 2009, la vie de Mohammed Mehdi bascule. Comme les autres locataires du foyer Fronton, à Toulouse, il reçoit alors une convocation de la caisse régionale d’assurance maladie de Midi-Pyrénées (devenue, depuis, la caisse d’assurance retraite et de la santé au travail, Carsat), lui demandant de se présenter avec son passeport. « Ils ont photocopié toutes les pages, en me demandant si j’avais des maisons en Algérie », relate-t-il. Cinq mois plus tard, il reçoit une lettre qui le fait défaillir. La missive l’informe sèchement d’un « trop perçu de 22 885,39 euros » sur dix ans qu’il est sommé de rembourser sur-le-champ. Pour cause de séjours au pays jugés trop longs par l’administration, qui en a relevé la fréquence et la durée par l’examen des tampons sur le passeport contrôlé. Pour percevoir l’Aspa, les retraités doivent en effet justifier d’un séjour de six mois en France. Quant aux prestations sociales gérées par la caisse d’allocations familiales, comme l’aide personnalisée au logement (APL), elles sont conditionnées à huit mois au moins de résidence en France. Des règles qui, théoriquement, s’appliquent à tous. Mais qui s’avèrent, dans les faits, autrement plus rigides et contraignantes s’agissant des immigrés. Comme Mohammed Mehdi, ils sont nombreux, à Toulouse, à faire l’objet de tels redressements de la Carsat, de la caisse d’allocations familiales ou encore de la Mutualité sociale agricole. Ces « chibanis », comme on désigne les vieux au Maghreb, se voient réclamer entre 1 000 et 23 000 euros. Pour l’État, l’économie est ridicule. Pour eux, le fardeau de cette « dette » est d’autant plus insupportable qu’il est alourdi par le poids de l’arbitraire et de l’injustice. « De façon lâche et discriminatoire, on a ciblé une population dont on savait qu’elle assurerait une pêche fructueuse aux inspecteurs de la Carsat », dénonce Jérôme Host, travailleur social à la Case de santé, un lieu d’accueil et d’accompagnement médical ouvert aux vieux immigrés, place Arnaud-Bernard. « Discriminatoire » : c’est aussi le jugement de la Haute autorité de lutte contre les discriminations (Halde). Celle-ci dénonçait, le 9 juin 2009, dans un communiqué, les contrôles de passeports effectués par la CAF auprès des résidents du foyer Adoma (ex-Sonacotra) d’Argenteuil. « Le caractère discriminatoire fondé sur la nationalité est prohibé par la Convention européenne des droits de l’homme », rappelait la Halde, avant de « recommander » à la CAF du Val-d’Oise « des méthodes de contrôle plus respectueuses des droits fondamentaux et du principe de non-discrimination ». Recommandations passées à la trappe ? À la Mutualité sociale agricole comme à la CAF de Haute-Garonne, sollicitées, on fait mine de ne pas connaître le dossier.
« Rien ne justifie cet acharnement contre des vieux vivant dans neuf mètres carrés, seulement coupables d’être allés voir leur famille au pays », tranche Jérôme Host. L’indignation est partagée par les militants du collectif transgénérationnel Justice et dignité pour les chibanis, crée en solidarité avec ces retraités immigrés il y a un an, pendant le festival Origines contrôlées organisé chaque année à Toulouse par le Tactikollectif. Un précieux appui pour les chibanis, qui ont occupé la Carsat de Midi-Pyrénées le 15 mars, battu le pavé en direction de la préfecture le 28 juin et pris part, avec leur propre cortège, aux manifestations contre la réforme des retraites. Une pétition demandant l’annulation de toutes les procédures fondées sur des contrôles discriminatoires et le rétablissement des prestations supprimées (1) a déjà recueilli de nombreuses signatures. En dépit de cette mobilisation, l’État est resté, jusqu’ici, inflexible. La Cram a seulement concédé, avant l’été, un « moratoire » de trois mois sur les dettes contestées. Le temps d’appliquer à ces dossiers des procédures classiques de recours amiable qui se sont toutes soldées par des rejets. « L’assistante sociale me dit de payer petit à petit, mais je ne perçois plus que 636 euros, désespère Mohammed Mehdi. Je me serre la ceinture pour payer le loyer de 383 euros et envoyer un peu d’argent à ma femme et mes enfants. Après ça, il ne me reste rien. Même si on me menaçait de prison, je ne pourrais pas payer. Je n’en dors plus la nuit, je tremble dès que je m’approche de la boîte aux lettres. » À soixante-quatorze ans, le vieil homme ne comprend pas qu’on lui interdise ainsi la quiétude à laquelle il aspire après une vie de travail. Lui continue de prendre part à toutes les mobilisations. D’autres, de guerre lasse, ont finalement opté pour un retour définitif au pays.
Place Arnaud-Bernard, une tente a été dressée toute cette semaine, à l’occasion du festival Origines contrôlées, en solidarité avec ces chibanis. Marteaux piqueurs et pelles en main, les vieux, dans ce théâtre improvisé, miment l’exil, la condition ouvrière… et le mépris de ces institutions qui les désignent comme des fraudeurs, les assignant à résidence.
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Re: Putain!...un autre!
Ben...ce n'était pas le vif du sujet...
Moi je parle plutôt du suicide chez ceux qui pourtant possèdent tout!
Travail garanti à vie, pension ultra généreuse à vie, soins médicaux ultra généreux à vie
Salaires hors normes, bref...l'eldorado!
Et pourtant...ils se suicide.....
Alors je fais le parallèlle avec les caissières au salaire minimum sans aucuns avantages...
Se suicide t-elle en aussi grand nombre?
Moi je parle plutôt du suicide chez ceux qui pourtant possèdent tout!
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- Doolores
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Re: Putain!...un autre!
Je comprend Anne, mais ici aussi nous avons des tas de Libanais, et autre, qui profitent du systeme de santé "gratuit" et qui pourtant vivent au Liban et ont des tas de biens la bas. En tout cas...comme dit Camilero c'est pas le sujet.
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Re: Putain!...un autre!
Un jour un spécialiste a dit a la télé, que la génération X en était une qui pourrait facilement, si l'auto ne démare pas le matin, s'asseoir sur le trottoir et pleurer.
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Re: Putain!...un autre!
C'est peut-être de notre faute. On a cru qu'en leurs facilitant la vie, qu'on leurs donnerait une longueur d'avance qu'on n'a pas eu parce que nos parents n'en avaient pas les moyen, et qu'ils iraient plus loin que nous dans la vie. En fait on voulait se créer une société d'élite à l'image des anglophones aisés.
Mais parallèlement à ça, on a omis d'exiger d'eux des résultats. Un bel effort, c'était suffisant, comme ça leurs est enseigné à l'école et comme une très grande proportion de familles sont séparés, les parents ne leurs ont pas demandé d'avantage.
Résultat, une génération d'inadaptés qui débarquent dans la vrai vie, comme des pee wee dans la LNH. Ils ne peuvent pas forcer ils se blessent. Ils ne supportent pas la pression et le rythme de la vie, qui en passant est de nos jours à un niveau sans précédant, sans faire de burn-out ou démisionner.
Mais parallèlement à ça, on a omis d'exiger d'eux des résultats. Un bel effort, c'était suffisant, comme ça leurs est enseigné à l'école et comme une très grande proportion de familles sont séparés, les parents ne leurs ont pas demandé d'avantage.
Résultat, une génération d'inadaptés qui débarquent dans la vrai vie, comme des pee wee dans la LNH. Ils ne peuvent pas forcer ils se blessent. Ils ne supportent pas la pression et le rythme de la vie, qui en passant est de nos jours à un niveau sans précédant, sans faire de burn-out ou démisionner.
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- Anne Onyme
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Re: Putain!...un autre!
Calimero parlait de gâté et de suicide, j'ai donné un exemple de non gâté et de non suicidé.
Il n'a pas le nom de la bonne origine, celui-ci, c'est tout
Quant aux "on dit" des étrangers qui profiteraient du système de santé, il faudrait peut-être voir de plus près si c'est vraiment vrai pour tous et toutes.
En tous cas celui-ci, en tant qu'ouvrier, il a participé à la construction de bâtiments, et peu payé.
Un peu de décence parfois pourait être bienvenue.
Mais dès qu'"on" ose aborder ce genre de sujet, il y a droit à un tollé de "on dit".
C'est tout.
Alors, pour ne pas soulever les tollés, il faut se taire? Ils doivent continuer à vvire cachés? Sans rien dire? Sans que personne qui ait regardé de plus près ne les soutienne?
C'est ça qu'il faut faire? Ou non?
Quel mépris pour les pauvres, je trouve.
Il n'a pas le nom de la bonne origine, celui-ci, c'est tout
Quant aux "on dit" des étrangers qui profiteraient du système de santé, il faudrait peut-être voir de plus près si c'est vraiment vrai pour tous et toutes.
En tous cas celui-ci, en tant qu'ouvrier, il a participé à la construction de bâtiments, et peu payé.
Un peu de décence parfois pourait être bienvenue.
Mais dès qu'"on" ose aborder ce genre de sujet, il y a droit à un tollé de "on dit".
C'est tout.
Alors, pour ne pas soulever les tollés, il faut se taire? Ils doivent continuer à vvire cachés? Sans rien dire? Sans que personne qui ait regardé de plus près ne les soutienne?
C'est ça qu'il faut faire? Ou non?
Quel mépris pour les pauvres, je trouve.
Liberté
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Re: Putain!...un autre!
((non non...juste que cela n'était pas le sujet de ce post alors il est normal que cela coupe court.))Anne Onyme a écrit :Calimero parlait de gâté et de suicide, j'ai donné un exemple de non gâté et de non suicidé.
Il n'a pas le nom de la bonne origine, celui-ci, c'est tout((((Est-ce un procès d'intention?))
Quant aux "on dit" des étrangers qui profiteraient du système de santé, il faudrait peut-être voir de plus près si c'est vraiment vrai pour tous et toutes.(( il y en a beaucoups, hélas qui trichent et ainsi donnent une mauvaise image aux autres))
En tous cas celui-ci, en tant qu'ouvrier, il a participé à la construction de bâtiments, et peu payé.
Un peu de décence parfois pourait être bienvenue.
Mais dès qu'"on" ose aborder ce genre de sujet, il y a droit à un tollé de "on dit".
C'est tout.
Alors, pour ne pas soulever les tollés, il faut se taire? Ils doivent continuer à vvire cachés? Sans rien dire? Sans que personne qui ait regardé de plus près ne les soutienne?
C'est ça qu'il faut faire? Ou non?
Quel mépris pour les pauvres, je trouve.
- Doolores
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Re: Putain!...un autre!
Calme toi Anne....ce n'est pas du tout ce que je dis. Je sens que ce sujet est sensible pour toi. Je le comprend tres bien, rassure-toi.Quant aux "on dit" des étrangers qui profiteraient du système de santé, il faudrait peut-être voir de plus près si c'est vraiment vrai pour tous et toutes.
C'est certain que c'est pas pareil pour tous. J'ai déja travaillé pour un Libanais (MrX). Et il travaillait tres fort. 7 jours sur 7 et tres peu de vacances. Je sais qu'il n'a pas été non plus le seul a travailler ainsi.
Mais je sais aussi qu'il y a d'autre Libanais, que je connais (de la même famille que MrX) qui eux ont profité largement du systeme, en ouvrant des magasins a numéros, et en ne payant jamais leurs fournisseurs, et en vendant le stock a gros prix, et pour finir par faire faillite, et par ouvrir un nouveau magasin a numéro et a recommencer le même stratageme.
Et MrX était horrifié autant que moi.
Désolé Calimero si Anne et moi on déborde sur un autre sujet.....je ne voulais surtout pas qu,elle reste sur l'impression que je suis raciste et que je mets tous les immigrants dans le même panier. Ce n'est pas ça du tout.
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Re: Putain!...un autre!
c'est trop facile de dire que c'est parce qu'ils sont trop faibles et qu'ils ont la vie trop facile. Trouvez autre chose svp ...
- poussiere d'étoiles
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Re: Putain!...un autre!
On ne pourra jamais comprendre le suicide
on ne peut mettre ca sur un coup de folie
des problèmes à la maison
un mal de vivre
le cancer de l'âme probablement
on ne peut mettre ca sur un coup de folie

des problèmes à la maison
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un mal de vivre
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le cancer de l'âme probablement
rire ca dilate la rate et ca détend tandis qu'être fru ca stress 210 muscles du visage alors on garde le sourire