UNE NOUVELLE DU JOUR
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP - 20/11/2010 à 16:31
Italie: une truffe blanche de 100.000 euros à la cantine des pauvres
Plusieurs dizaines de pauvres ont pu goûter samedi à la cantine populaire de la Caritas, une organisation caritative catholique, des plats confectionnés avec une truffe blanche d'une valeur de 100.000 euros, don du pape Benoît XVI, a rapporté un religieux.
Photographe : Filippo Monteforte, AFP :
Une truffe blanche de 900 grammes, vendue 105.000 euros le 14 novembre 2010, exposée à Alba, en Italie
"Elle suffira pour tous, elle est vraiment énorme. Nous savons qu'au cours d'une vente aux enchères caritative elle a été payée 100.000 euros", a déclaré Mgr Enrico Feroci, directeur de la Caritas pour le diocèse de Rome, cité par l'agence Ansa.
La truffe blanche d'un kilo environ a été achetée par un entrepreneur du nord de l'Italie, Antonio Bertolotto, qui en a fait don au pape Benoît XVI. Ce dernier à son tour l'a donné à la Caritas romaine, au grand bonheur des pauvres de la capitale italienne.
Du riz à la truffe a été servi à des dizaines de pauvres à midi dans une cantine de la Caritas et ce qu'il en reste sera servi dans la soirée dans une seconde cantine de l'organisation caritative.
Il y a 5 jours, une truffe blanche de 900 grammes avait été achetée pour 105.000 euros par une critique de vins sud-coréenne demeurant à Hong Kong, lors d'une mise aux enchères à Alba, dans le nord de l'Italie.
Italie: une truffe blanche de 100.000 euros à la cantine des pauvres
Plusieurs dizaines de pauvres ont pu goûter samedi à la cantine populaire de la Caritas, une organisation caritative catholique, des plats confectionnés avec une truffe blanche d'une valeur de 100.000 euros, don du pape Benoît XVI, a rapporté un religieux.
Photographe : Filippo Monteforte, AFP :
Une truffe blanche de 900 grammes, vendue 105.000 euros le 14 novembre 2010, exposée à Alba, en Italie
"Elle suffira pour tous, elle est vraiment énorme. Nous savons qu'au cours d'une vente aux enchères caritative elle a été payée 100.000 euros", a déclaré Mgr Enrico Feroci, directeur de la Caritas pour le diocèse de Rome, cité par l'agence Ansa.
La truffe blanche d'un kilo environ a été achetée par un entrepreneur du nord de l'Italie, Antonio Bertolotto, qui en a fait don au pape Benoît XVI. Ce dernier à son tour l'a donné à la Caritas romaine, au grand bonheur des pauvres de la capitale italienne.
Du riz à la truffe a été servi à des dizaines de pauvres à midi dans une cantine de la Caritas et ce qu'il en reste sera servi dans la soirée dans une seconde cantine de l'organisation caritative.
Il y a 5 jours, une truffe blanche de 900 grammes avait été achetée pour 105.000 euros par une critique de vins sud-coréenne demeurant à Hong Kong, lors d'une mise aux enchères à Alba, dans le nord de l'Italie.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP - 20/11/2010 à 19:40
Un automobiliste de 82 ans remonte l'autoroute A7 à contresens sur 13 kmsUn automobiliste de 82 ans a remonté l'autoroute A7 sur quelque 13 kilomètres samedi au sud de Lyon, ne faisant miraculeusement qu'un blessé, a-t-on appris auprès des CRS.
"Il va être examiné par un médecin, il a été placé en garde à vue", a expliqué un responsable des CRS à l'AFP.
Le vieil homme, qui n'était pas en mesure de dire quelle entrée d'autoroute il a prise, serait entré sur l'A7 à hauteur de Vienne, en Isère.
Il a parcouru quelque 13 kilomètres, faisant des appels de phares désespérés aux automobilistes arrivant face à lui, jusqu'à son interpellation par un équipage de CRS au niveau de Solaize, dans le Rhône.
Une voiture, en voulant l'éviter, est partie en tête-à-queue, impliquant deux autres véhicules dans un carambolage. Une femme a été légèrement blessée.
"Il faisait des appels de phare, il espérait trouver une sortie", a expliqué le responsable des CRS interrogé par l'AFP, soulignant l'état de confusion dans lequel se trouvait le retraité dans la soirée.
Photographe : Patrick Bernard, AFP :
Des policiers de la Compagnie républicaine de sécurité autoroutière (CRS) contrôlent un automobiliste
Le 30 septembre, Dominique Bussereau, alors secrétaire d'Etat aux Transports, avait dit n'être "pas favorable à une visite médicale imposée" aux personnes âgées qui conduisent, invoquant le fait que "la statistique montre qu'elles sont très peu créatrices d'accidents".
Le débat sur le contrôle de leurs capacités au volant a été relancé par la décision de la mère d'un petit garçon renversé en 2006 par un automobiliste de 86 ans d'assigner l'Etat en justice pour faute grave.
Un automobiliste de 82 ans remonte l'autoroute A7 à contresens sur 13 kmsUn automobiliste de 82 ans a remonté l'autoroute A7 sur quelque 13 kilomètres samedi au sud de Lyon, ne faisant miraculeusement qu'un blessé, a-t-on appris auprès des CRS.
"Il va être examiné par un médecin, il a été placé en garde à vue", a expliqué un responsable des CRS à l'AFP.
Le vieil homme, qui n'était pas en mesure de dire quelle entrée d'autoroute il a prise, serait entré sur l'A7 à hauteur de Vienne, en Isère.
Il a parcouru quelque 13 kilomètres, faisant des appels de phares désespérés aux automobilistes arrivant face à lui, jusqu'à son interpellation par un équipage de CRS au niveau de Solaize, dans le Rhône.
Une voiture, en voulant l'éviter, est partie en tête-à-queue, impliquant deux autres véhicules dans un carambolage. Une femme a été légèrement blessée.
"Il faisait des appels de phare, il espérait trouver une sortie", a expliqué le responsable des CRS interrogé par l'AFP, soulignant l'état de confusion dans lequel se trouvait le retraité dans la soirée.
Photographe : Patrick Bernard, AFP :
Des policiers de la Compagnie républicaine de sécurité autoroutière (CRS) contrôlent un automobiliste
Le 30 septembre, Dominique Bussereau, alors secrétaire d'Etat aux Transports, avait dit n'être "pas favorable à une visite médicale imposée" aux personnes âgées qui conduisent, invoquant le fait que "la statistique montre qu'elles sont très peu créatrices d'accidents".
Le débat sur le contrôle de leurs capacités au volant a été relancé par la décision de la mère d'un petit garçon renversé en 2006 par un automobiliste de 86 ans d'assigner l'Etat en justice pour faute grave.
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP - 21/11/2010 à 23:21
La Belgique aborde de front la question de sa scission à la télévisionLa Belgique a regardé dimanche sa "mort en direct" dans une émission de télévision spéciale sur l'impact d'un éclatement du pays, qui a souligné les énormes difficultés pour organiser le divorce et confirmé que la question n'était plus taboue dans le pays.
Qu'adviendrait-il de Bruxelles, du roi Albert II, de l'armée, de la dette nationale ou de la sécurité sociale ?
Ces questions ont été abordées en une quarantaine de minutes dans une édition spéciale du magazine d'actualité de la télévision publique belge néerlandophone VRT, baptisée "Plan B".
L'émission, fait exceptionnel, a été simultanément retransmise sur la télévision publique francophone RTBF.
Elle rappelle par le thème choisi une "vraie-fausse" fiction retentissante sur la scission du pays, "Bye-Bye Belgium", diffusée fin 2006 par la RTBF.
Tournée comme s'il s'agissait d'un journal télévisé en direct annonçant la proclamation unilatérale d'indépendance par la Flandre, l'émission avait fait croire à des centaines de milliers de téléspectateurs, par le biais de faux reportages, que la messe était dite.
Il n'en a rien été cette fois. L'émission entendait regarder la réalité en face en donnant la parole à 11 universitaires.
Photographe : Olivier Polet, AFP :
Le roi des Belges Albert II s'adresse à la nation, le 21 décembre 2007
Le simple fait que la télévision belge décortique la question montre néanmoins l'évolution qu'a connue l'opinion depuis que la crise politique nationale s'est brusquement envenimée en 2007 à la suite de revendications autonomistes plus dures de la part de la Flandre.
La victoire d'un parti flamand séparatiste aux élections législatives de juin dernier, la N-VA, est passée par là. Depuis, le pays n'a toujours pas réussi à se doter d'un nouveau gouvernement.
"En droit international, il n'y a pas de règles pré-établies à suivre pour scinder un pays. Il faudrait tout négocier", a expliqué l'un des professeurs, rappelant que l'accord de scission de la Tchécoslovaquie comportait plus de 22.000 pages.
Mais il est clair que les francophones auraient le plus à perdre économiquement d'une scission.
En termes de richesse par habitant et par rapport à une moyenne nationale à 100, la Flandre se situe aujourd'hui à 109%, selon les statistiques officielles.
La Wallonie n'est qu'à 87% et la ville-Région de Bruxelles est encore plus pauvre (86%).
Entre le partage de la dette fédérale et le maintien des institutions européennes en Belgique, les problématiques découlant d'un éclatement sont sinon complexes voire inextricables, ont souligné les experts.
"Le repli de la solidarité vers des entités plus petites est un recul de la civilisation", a lâché Bea Cantillon, professeur à l'Université d'Anvers à propos de la sécurité sociale, l'une des rares expertes a avoir donné une opinion personnelle.
Et puis il y a le casse-tête de Bruxelles, ville francophone, capitale de l'Europe mais située en Flandre et donc sans lien territorial avec la Wallonie plus au sud.
Lors d'un débat, la N-VA et le parti d'extrême droite Vlaams Belang se sont réjouis que "les esprits aient évolué" et que le sujet ne soit plus un tabou.
Les autres partis flamands ont souligné qu'ils continuaient, malgré le blocage actuel, à privilégier le dialogue afin de renforcer l'autonomie des régions, mais dans un cadre belge.
Pour le président des Libéraux flamands, Alexander De Croo, s'orienter vers un éclatement "serait plonger dans l'incertitude pour au moins dix ans" car cela exigerait que Flamands et francophones se mettent d'accord "sur 40 sujets" alors qu'ils n'arrivent pas en régler un seul aujourd'hui.
La Belgique aborde de front la question de sa scission à la télévisionLa Belgique a regardé dimanche sa "mort en direct" dans une émission de télévision spéciale sur l'impact d'un éclatement du pays, qui a souligné les énormes difficultés pour organiser le divorce et confirmé que la question n'était plus taboue dans le pays.
Qu'adviendrait-il de Bruxelles, du roi Albert II, de l'armée, de la dette nationale ou de la sécurité sociale ?
Ces questions ont été abordées en une quarantaine de minutes dans une édition spéciale du magazine d'actualité de la télévision publique belge néerlandophone VRT, baptisée "Plan B".
L'émission, fait exceptionnel, a été simultanément retransmise sur la télévision publique francophone RTBF.
Elle rappelle par le thème choisi une "vraie-fausse" fiction retentissante sur la scission du pays, "Bye-Bye Belgium", diffusée fin 2006 par la RTBF.
Tournée comme s'il s'agissait d'un journal télévisé en direct annonçant la proclamation unilatérale d'indépendance par la Flandre, l'émission avait fait croire à des centaines de milliers de téléspectateurs, par le biais de faux reportages, que la messe était dite.
Il n'en a rien été cette fois. L'émission entendait regarder la réalité en face en donnant la parole à 11 universitaires.
Photographe : Olivier Polet, AFP :
Le roi des Belges Albert II s'adresse à la nation, le 21 décembre 2007
Le simple fait que la télévision belge décortique la question montre néanmoins l'évolution qu'a connue l'opinion depuis que la crise politique nationale s'est brusquement envenimée en 2007 à la suite de revendications autonomistes plus dures de la part de la Flandre.
La victoire d'un parti flamand séparatiste aux élections législatives de juin dernier, la N-VA, est passée par là. Depuis, le pays n'a toujours pas réussi à se doter d'un nouveau gouvernement.
"En droit international, il n'y a pas de règles pré-établies à suivre pour scinder un pays. Il faudrait tout négocier", a expliqué l'un des professeurs, rappelant que l'accord de scission de la Tchécoslovaquie comportait plus de 22.000 pages.
Mais il est clair que les francophones auraient le plus à perdre économiquement d'une scission.
En termes de richesse par habitant et par rapport à une moyenne nationale à 100, la Flandre se situe aujourd'hui à 109%, selon les statistiques officielles.
La Wallonie n'est qu'à 87% et la ville-Région de Bruxelles est encore plus pauvre (86%).
Entre le partage de la dette fédérale et le maintien des institutions européennes en Belgique, les problématiques découlant d'un éclatement sont sinon complexes voire inextricables, ont souligné les experts.
"Le repli de la solidarité vers des entités plus petites est un recul de la civilisation", a lâché Bea Cantillon, professeur à l'Université d'Anvers à propos de la sécurité sociale, l'une des rares expertes a avoir donné une opinion personnelle.
Et puis il y a le casse-tête de Bruxelles, ville francophone, capitale de l'Europe mais située en Flandre et donc sans lien territorial avec la Wallonie plus au sud.
Lors d'un débat, la N-VA et le parti d'extrême droite Vlaams Belang se sont réjouis que "les esprits aient évolué" et que le sujet ne soit plus un tabou.
Les autres partis flamands ont souligné qu'ils continuaient, malgré le blocage actuel, à privilégier le dialogue afin de renforcer l'autonomie des régions, mais dans un cadre belge.
Pour le président des Libéraux flamands, Alexander De Croo, s'orienter vers un éclatement "serait plonger dans l'incertitude pour au moins dix ans" car cela exigerait que Flamands et francophones se mettent d'accord "sur 40 sujets" alors qu'ils n'arrivent pas en régler un seul aujourd'hui.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP - 22/11/2010 à 16:40
Après l'Irlande, le Portugal de nouveau en première ligneAprès la Grèce et l'Irlande, le Portugal, désormais en première ligne des marchés, pourrait être contraint lui aussi de solliciter une aide extérieure, estiment les analystes, même si les autorités veulent encore convaincre que les situations sont "très différentes".
"Sur les marchés, l'idée est qu'une fois résolu le cas de l'Irlande, le Portugal se trouve en première ligne", déclarait dès vendredi Joao Cravinho, directeur à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), chargé du Portugal.
Pour autant, les autorités portugaises gardent encore espoir, insistant sur les différences entre les deux pays, comme elles l'avaient fait lors de la crise grecque au printemps.
Le Portugal "n'a besoin d'aucune aide" pour surmonter ses difficultés financières, a déclaré lundi avec force le Premier ministre José Socrates, affirmant qu'"il n'y a aucun rapport entre le Portugal et l'Irlande".
Photographe : Patricia de Melo Moreira, AFP :
Le ministre portugais des Finances Fernando Teixeira dos Santos, le 16 novembre 2010 à Lisbonne
"Le Portugal n'a aucun problème avec son système financier. Le Portugal n'a jamais eu de bulle immobilière et nous avons une situation budgétaire sans comparaison" avec l'Irlande, a ajouté M. Socrates, qui a dit espérer que le plan d'aide à l'Irlande "va permettre de normaliser la situation sur les marchés, car le Portugal subissait un effet de contagion très net".
Dimanche soir, le ministre portugais des Finances Fernando Teixeira dos Santos s'était empressé de saluer le plan d'aide "significatif" à l'Irlande qui, avait-il assuré, "apaise les craintes, réduit l'incertitude et renforce la confiance des marchés".
Une nouvelle fois, il avait tenté de décoller le Portugal des problèmes irlandais, soulignant que le pays dispose d'un système bancaire "résistant" et d'une "stratégie claire" pour réduire ses déficits conformément à ses engagements.
Toutefois, pour la majorité des analystes, ces arguments pourraient s'avérer insuffisants pour rassurer les marchés. Lundi à 14H45 GMT, les taux de rendement des obligations portugaises à dix ans restaient en hausse à 6,560%, contre 6,508% vendredi soir.
"Si cette pression ne se relâche pas, le Portugal sera contraint de demander une aide d'urgence", prévoit l'économiste Tullia Bucco d'Unicrédit.
"Le Portugal peut considérer qu'il est insensé de payer des taux de 6 à 7%, ou plus, alors qu'il peut demander une aide extérieure" à des taux plus faibles, estime également Filipe Silva, stratégiste obligataire de la banque Carregosa.
Plombé par une croissance atone depuis de nombreuses années, le Portugal accuse une dette publique de 161 milliards d'euros, soit plus de 82% du PIB, qu'il s'est montré jusqu'ici incapable de réduire.
"L'endettement portugais a davantage progressé sur les neuf premiers mois de l'année que sur la même période de l'année dernière", faisait remarquer l'économiste Ralph Solveen de la Commerzbank, au Financial Times.
"Les besoins de financement du Portugal sont supérieurs à ceux de l'Irlande", soulignait pour sa part Nick Firoozye de la banque Nomura, cité lundi par Diario Economico.
Si le Portugal a garanti ses besoins de financement pour 2010, la situation risque en effet de se compliquer très fortement en 2011, avec l'arrivée à échéance de 25,6 milliards d'euros de dettes, dont 19,7 milliards au premier semestre.
Dans ce contexte, le Parlement portugais s'apprête à voter définitivement vendredi un budget d'une austérité sans précédent, cumulant baisses des salaires et hausses d'impôts pour ramener le déficit de 7,3% du PIB à 4,6%.
En réaction, les deux principales centrales syndicales portugaises, la CGTP et l'UGT, réunies pour la première fois depuis 1988, ont convoqué pour mercredi une grève générale, qui s'annonce comme le mouvement social le plus important depuis l'avènement de la démocratie en 1974.
Après l'Irlande, le Portugal de nouveau en première ligneAprès la Grèce et l'Irlande, le Portugal, désormais en première ligne des marchés, pourrait être contraint lui aussi de solliciter une aide extérieure, estiment les analystes, même si les autorités veulent encore convaincre que les situations sont "très différentes".
"Sur les marchés, l'idée est qu'une fois résolu le cas de l'Irlande, le Portugal se trouve en première ligne", déclarait dès vendredi Joao Cravinho, directeur à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), chargé du Portugal.
Pour autant, les autorités portugaises gardent encore espoir, insistant sur les différences entre les deux pays, comme elles l'avaient fait lors de la crise grecque au printemps.
Le Portugal "n'a besoin d'aucune aide" pour surmonter ses difficultés financières, a déclaré lundi avec force le Premier ministre José Socrates, affirmant qu'"il n'y a aucun rapport entre le Portugal et l'Irlande".
Photographe : Patricia de Melo Moreira, AFP :
Le ministre portugais des Finances Fernando Teixeira dos Santos, le 16 novembre 2010 à Lisbonne
"Le Portugal n'a aucun problème avec son système financier. Le Portugal n'a jamais eu de bulle immobilière et nous avons une situation budgétaire sans comparaison" avec l'Irlande, a ajouté M. Socrates, qui a dit espérer que le plan d'aide à l'Irlande "va permettre de normaliser la situation sur les marchés, car le Portugal subissait un effet de contagion très net".
Dimanche soir, le ministre portugais des Finances Fernando Teixeira dos Santos s'était empressé de saluer le plan d'aide "significatif" à l'Irlande qui, avait-il assuré, "apaise les craintes, réduit l'incertitude et renforce la confiance des marchés".
Une nouvelle fois, il avait tenté de décoller le Portugal des problèmes irlandais, soulignant que le pays dispose d'un système bancaire "résistant" et d'une "stratégie claire" pour réduire ses déficits conformément à ses engagements.
Toutefois, pour la majorité des analystes, ces arguments pourraient s'avérer insuffisants pour rassurer les marchés. Lundi à 14H45 GMT, les taux de rendement des obligations portugaises à dix ans restaient en hausse à 6,560%, contre 6,508% vendredi soir.
"Si cette pression ne se relâche pas, le Portugal sera contraint de demander une aide d'urgence", prévoit l'économiste Tullia Bucco d'Unicrédit.
"Le Portugal peut considérer qu'il est insensé de payer des taux de 6 à 7%, ou plus, alors qu'il peut demander une aide extérieure" à des taux plus faibles, estime également Filipe Silva, stratégiste obligataire de la banque Carregosa.
Plombé par une croissance atone depuis de nombreuses années, le Portugal accuse une dette publique de 161 milliards d'euros, soit plus de 82% du PIB, qu'il s'est montré jusqu'ici incapable de réduire.
"L'endettement portugais a davantage progressé sur les neuf premiers mois de l'année que sur la même période de l'année dernière", faisait remarquer l'économiste Ralph Solveen de la Commerzbank, au Financial Times.
"Les besoins de financement du Portugal sont supérieurs à ceux de l'Irlande", soulignait pour sa part Nick Firoozye de la banque Nomura, cité lundi par Diario Economico.
Si le Portugal a garanti ses besoins de financement pour 2010, la situation risque en effet de se compliquer très fortement en 2011, avec l'arrivée à échéance de 25,6 milliards d'euros de dettes, dont 19,7 milliards au premier semestre.
Dans ce contexte, le Parlement portugais s'apprête à voter définitivement vendredi un budget d'une austérité sans précédent, cumulant baisses des salaires et hausses d'impôts pour ramener le déficit de 7,3% du PIB à 4,6%.
En réaction, les deux principales centrales syndicales portugaises, la CGTP et l'UGT, réunies pour la première fois depuis 1988, ont convoqué pour mercredi une grève générale, qui s'annonce comme le mouvement social le plus important depuis l'avènement de la démocratie en 1974.
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP - 23/11/2010 à 07:27
Tirs d'obus nord-coréens: la Corée du Sud répliquePlusieurs obus tirés par la Corée du Nord ont atteint mardi une île sud-coréenne et causé des blessés et des dégâts, a indiqué la chaîne de télévision sud-coréenne YTN.
L'armée sud-coréenne a répliqué à ces tirs d'obus nord-coréens, a annoncé le ministère sud-coréen de la Défense.
Sarkozy agacé par le président roumain
Tirs d'obus nord-coréens: la Corée du Sud répliquePlusieurs obus tirés par la Corée du Nord ont atteint mardi une île sud-coréenne et causé des blessés et des dégâts, a indiqué la chaîne de télévision sud-coréenne YTN.
L'armée sud-coréenne a répliqué à ces tirs d'obus nord-coréens, a annoncé le ministère sud-coréen de la Défense.
Sarkozy agacé par le président roumain
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Sarkozy agacé par le président roumain
ca me fait penser a ces mots qu'on dit chez moi:quand deux personnes disent que tu es ivre, il faut aller se coucher-
ca me fait penser a ces mots qu'on dit chez moi:quand deux personnes disent que tu es ivre, il faut aller se coucher-
la douceur est la plenitude de la force-Alphonse Gratry
....qui s'aiment, se taquinent...parfois
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP - 24/11/2010 à 00:12
La France compte 6,7 millions d'immigrés mais les Français s'expatrient peu (étude)La France compte 6,7 millions d'immigrés, soit 11% de sa population, mais constitue un des pays d'Europe d'où l'on s'expatrie le moins, selon une étude de l'Institut national des études démographiques (Ined) rendue publique mercredi.
La France arrive derrière les Etats-unis qui comptent (42,8 millions), la Russie (12,3), l'Allemagne (9,1), l'Arabie Saoudite (7,3), le Canada (7,2). Elle devance le Royaume-uni (6,5) et l'Espagne (6,4), selon cette étude qui définit un immigré comme une "personne née dans autre pays que celui où elle réside".
La France est en revanche l'un des pays d'Europe d'où l'on s'expatrie le moins "contrairement à une idée bien reçue".
Si les Etats-unis accueillent le plus grand nombre d'immigrés au monde, les pays du Golfe sont les plus attractifs proportionnellement à leur population, et les immigrés y sont parfois majoritaires.
Sur la base de la proportion, l'étude définit cinq groupes de pays.
Dans le premier, les immigrés forment 86% de la population au Qatar, 70% aux Emirats arabes unis, 69% au Koweït. L'arabie Saoudite, le Bahreïn, Oman et Bruneï ont des taux compris entre 28 et 40%. Ce sont tous des pays "peu peuplés mais richement dotés de ressources pétrolières".
Photographe : Thomas Coex, AFP :
Des personnes patientent, le 25 octobre 2004 à Paris au centre d'accueil et d'intégration de nouveux immigrés.
Le deuxième groupe compte par exemple Monaco (72%), Macao (55%) et Singapour (41%). Ce sont de "très petits territoires" ou des "micro-Etats, souvent dotés d'un statut particulier, notamment sur le plan fiscal".
Dans le troisième groupe, on trouve l'Australie (22%) et le Canada (21%), des pays "dotés d'immenses espaces mais encore faiblement peuplés".
La France, avec 11% d'immigrés, se trouve dans le groupe quatrième groupe des démocraties industrielles occidentales, derrière l'Autriche (16%), la Suède (14%), l'Espagne (14%) et les Etats-unis (13%). Elle devance les Pays-Bas (10%), le Royaume-uni (10%), la Belgique (9%) et l'Italie (7%).
Un cinquième groupe est formé de pays dits de "premier asile", comme la Syrie qui héberge un million de réfugiés irakiens (5% de sa population) ou le Tchad qui accueille près de 350.000 Soudanais (3%).
Les Etats-unis et la France sont des pays d'immigration "ancienne" qui "s'est constituée progressivement" alors que l'Espagne est un "nouveau" pays d'immigration" qui s'est constituée "en un temps très court" depuis le début des années 90. Le Royaune-uni comptait en 2000 presque autant d'immigrés (4,9 millions) que d'émigrés (4,2 millions).
En tête des pays de départ, se trouve le Mexique avec 10% de sa population, suivi de l'Afghanistan (9,9), du Maroc (9), du Royaune-uni (7,1), de l'Algérie (6,7), de l'Allemagne (4,9) ou de la Turquie '4,5).
Au total, les immigrés seraient 214 millions en 2010, soit 3,1% de la population mondiale.
La France compte 6,7 millions d'immigrés mais les Français s'expatrient peu (étude)La France compte 6,7 millions d'immigrés, soit 11% de sa population, mais constitue un des pays d'Europe d'où l'on s'expatrie le moins, selon une étude de l'Institut national des études démographiques (Ined) rendue publique mercredi.
La France arrive derrière les Etats-unis qui comptent (42,8 millions), la Russie (12,3), l'Allemagne (9,1), l'Arabie Saoudite (7,3), le Canada (7,2). Elle devance le Royaume-uni (6,5) et l'Espagne (6,4), selon cette étude qui définit un immigré comme une "personne née dans autre pays que celui où elle réside".
La France est en revanche l'un des pays d'Europe d'où l'on s'expatrie le moins "contrairement à une idée bien reçue".
Si les Etats-unis accueillent le plus grand nombre d'immigrés au monde, les pays du Golfe sont les plus attractifs proportionnellement à leur population, et les immigrés y sont parfois majoritaires.
Sur la base de la proportion, l'étude définit cinq groupes de pays.
Dans le premier, les immigrés forment 86% de la population au Qatar, 70% aux Emirats arabes unis, 69% au Koweït. L'arabie Saoudite, le Bahreïn, Oman et Bruneï ont des taux compris entre 28 et 40%. Ce sont tous des pays "peu peuplés mais richement dotés de ressources pétrolières".
Photographe : Thomas Coex, AFP :
Des personnes patientent, le 25 octobre 2004 à Paris au centre d'accueil et d'intégration de nouveux immigrés.
Le deuxième groupe compte par exemple Monaco (72%), Macao (55%) et Singapour (41%). Ce sont de "très petits territoires" ou des "micro-Etats, souvent dotés d'un statut particulier, notamment sur le plan fiscal".
Dans le troisième groupe, on trouve l'Australie (22%) et le Canada (21%), des pays "dotés d'immenses espaces mais encore faiblement peuplés".
La France, avec 11% d'immigrés, se trouve dans le groupe quatrième groupe des démocraties industrielles occidentales, derrière l'Autriche (16%), la Suède (14%), l'Espagne (14%) et les Etats-unis (13%). Elle devance les Pays-Bas (10%), le Royaume-uni (10%), la Belgique (9%) et l'Italie (7%).
Un cinquième groupe est formé de pays dits de "premier asile", comme la Syrie qui héberge un million de réfugiés irakiens (5% de sa population) ou le Tchad qui accueille près de 350.000 Soudanais (3%).
Les Etats-unis et la France sont des pays d'immigration "ancienne" qui "s'est constituée progressivement" alors que l'Espagne est un "nouveau" pays d'immigration" qui s'est constituée "en un temps très court" depuis le début des années 90. Le Royaune-uni comptait en 2000 presque autant d'immigrés (4,9 millions) que d'émigrés (4,2 millions).
En tête des pays de départ, se trouve le Mexique avec 10% de sa population, suivi de l'Afghanistan (9,9), du Maroc (9), du Royaune-uni (7,1), de l'Algérie (6,7), de l'Allemagne (4,9) ou de la Turquie '4,5).
Au total, les immigrés seraient 214 millions en 2010, soit 3,1% de la population mondiale.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
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Alphonse de Lamartine
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP - 25/11/2010 à 07:23
Tension entre Corées: Séoul renforce son armée, Pyongyang prêt à de nouveaux tirs
La Corée du Nord a rendu jeudi responsables Séoul et Washington de ses tirs d'obus meurtriers et s'est dite prête à frapper de nouveau la Corée du Sud, qui a annoncé renforcer ses moyens militaires en mer Jaune.
"La mer occidentale (mer Jaune) est devenue une poudrière où les risques de confrontations et d'affrontements entre le Nord et le Sud perdurent uniquement parce que les Etats-Unis ont de façon unilatérale tracé la ligne illégale de démarcation" entre les deux pays, a déclaré un haut responsable militaire nord-coréen, en faisant référence à la fin de la guerre de Corée (1950-1953).
"Par conséquent les Etats-Unis ne peuvent échapper à leur responsabilité dans le récent échange de tirs", a-t-il ajouté.
La Corée du Nord a tiré mardi 170 obus visant l'île sud-coréenne de Yeonpyeong, selon l'armée sud-coréenne: 90 sont tombés à la mer et 80 ont semé le chaos sur l'île, tuant quatre personnes. Les forces de Séoul ont riposté, également par des tirs d'obus
Photographe : Yoshikazu Tsuno AFP :
Photographe : Incheon City AFP :
Photographe : AFP :
Corée : le Nord bombarde une île du Sud
Tandis qu'un groupe aéronaval américain, avec à sa tête le porte-avions George Washington, faisait route vers la région, les pays membres du Conseil de sécurité de l'ONU n'ont pas fixé de réunion à brève échéance, hésitant sur le comportement à adopter face aux actions erratiques de Pyongyang.
Ayant eu mardi des civils bombardés pour la première fois depuis la guerre, la Corée du Sud a décidé d'envoyer des renforts militaires dans cinq de ses îles de la mer Jaune proches de la Corée du Nord, dont celle de Yeonpyeong. Le gouvernement "a décidé de nettement augmenter les forces armées, dont les troupes terrestres, sur les cinq îles de la mer Jaune" au nord-ouest de la Corée du Sud, a déclaré Hong Sang-Pyo, un haut responsable sud-coréen.
Quelques heures avant, la Corée du Nord avait annoncé qu'elle était prête à frapper de nouveau le Sud, en accusant encore une fois son voisin d'avoir ouvert les hostilités.
Le régime stalinien de la République populaire démocratique de Corée (RPDC), nom officiel de la Corée du Nord, a affirmé avoir répliqué à un exercice militaire organisé par Séoul dans cette zone contestée de la mer Jaune. "La RPDC, qui fait grand cas de la paix et de la stabilité dans la péninsule coréenne, est en train de faire preuve d'un contrôle de soi surhumain, mais les pièces d'artillerie de l'armée de la RPDC, qui défend la Justice, restent prêtes à tirer", a indiqué le gouvernement nord-coréen.
Les Etats-Unis ont affiché mercredi leur soutien à la Corée du Sud et vont effectuer avec elle des manoeuvres aéronavales de dimanche à mercredi prochain, en engageant le porte-avions George Washington. Selon un communiqué des forces américaines en Corée, ces exercices militaires étaient prévus avant que ne se produise mardi "l'attaque d'artillerie non provoquée" nord-coréenne. Cela démontre l'engagement américain "à la stabilité régionale à travers la dissuasion".
Pour le ministère sud-coréen de la Défense, ces entraînements communs "défensifs" visent à accroître la dissuasion contre le Nord.
Un exercice militaire en juillet dernier, qui était prévu en mer Jaune (ouest de la péninsule coréenne), avait été déplacé en mer du Japon (est) apparemment à la suite de protestations de la Chine qui s'est élevée contre ces manoeuvres et la présence d'un porte-avions américain en mer Jaune, entre ses côtes et celles de Corée.
La Chine est opposée à "toute provocation militaire", a déclaré jeudi le Premier ministre Wen Jiabao, sans préciser à quoi il faisait référence.
Dans ce climat tendu, le ministre chinois des Affaires étrangères, Yang Jiechi, a reporté sa visite à Séoul prévue vendredi, officiellement pour un problème "d'emploi du temps". Pékin est l'une des rares soutiens dans le monde de la Corée du Nord.
Tension entre Corées: Séoul renforce son armée, Pyongyang prêt à de nouveaux tirs
La Corée du Nord a rendu jeudi responsables Séoul et Washington de ses tirs d'obus meurtriers et s'est dite prête à frapper de nouveau la Corée du Sud, qui a annoncé renforcer ses moyens militaires en mer Jaune.
"La mer occidentale (mer Jaune) est devenue une poudrière où les risques de confrontations et d'affrontements entre le Nord et le Sud perdurent uniquement parce que les Etats-Unis ont de façon unilatérale tracé la ligne illégale de démarcation" entre les deux pays, a déclaré un haut responsable militaire nord-coréen, en faisant référence à la fin de la guerre de Corée (1950-1953).
"Par conséquent les Etats-Unis ne peuvent échapper à leur responsabilité dans le récent échange de tirs", a-t-il ajouté.
La Corée du Nord a tiré mardi 170 obus visant l'île sud-coréenne de Yeonpyeong, selon l'armée sud-coréenne: 90 sont tombés à la mer et 80 ont semé le chaos sur l'île, tuant quatre personnes. Les forces de Séoul ont riposté, également par des tirs d'obus
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Corée : le Nord bombarde une île du Sud
Tandis qu'un groupe aéronaval américain, avec à sa tête le porte-avions George Washington, faisait route vers la région, les pays membres du Conseil de sécurité de l'ONU n'ont pas fixé de réunion à brève échéance, hésitant sur le comportement à adopter face aux actions erratiques de Pyongyang.
Ayant eu mardi des civils bombardés pour la première fois depuis la guerre, la Corée du Sud a décidé d'envoyer des renforts militaires dans cinq de ses îles de la mer Jaune proches de la Corée du Nord, dont celle de Yeonpyeong. Le gouvernement "a décidé de nettement augmenter les forces armées, dont les troupes terrestres, sur les cinq îles de la mer Jaune" au nord-ouest de la Corée du Sud, a déclaré Hong Sang-Pyo, un haut responsable sud-coréen.
Quelques heures avant, la Corée du Nord avait annoncé qu'elle était prête à frapper de nouveau le Sud, en accusant encore une fois son voisin d'avoir ouvert les hostilités.
Le régime stalinien de la République populaire démocratique de Corée (RPDC), nom officiel de la Corée du Nord, a affirmé avoir répliqué à un exercice militaire organisé par Séoul dans cette zone contestée de la mer Jaune. "La RPDC, qui fait grand cas de la paix et de la stabilité dans la péninsule coréenne, est en train de faire preuve d'un contrôle de soi surhumain, mais les pièces d'artillerie de l'armée de la RPDC, qui défend la Justice, restent prêtes à tirer", a indiqué le gouvernement nord-coréen.
Les Etats-Unis ont affiché mercredi leur soutien à la Corée du Sud et vont effectuer avec elle des manoeuvres aéronavales de dimanche à mercredi prochain, en engageant le porte-avions George Washington. Selon un communiqué des forces américaines en Corée, ces exercices militaires étaient prévus avant que ne se produise mardi "l'attaque d'artillerie non provoquée" nord-coréenne. Cela démontre l'engagement américain "à la stabilité régionale à travers la dissuasion".
Pour le ministère sud-coréen de la Défense, ces entraînements communs "défensifs" visent à accroître la dissuasion contre le Nord.
Un exercice militaire en juillet dernier, qui était prévu en mer Jaune (ouest de la péninsule coréenne), avait été déplacé en mer du Japon (est) apparemment à la suite de protestations de la Chine qui s'est élevée contre ces manoeuvres et la présence d'un porte-avions américain en mer Jaune, entre ses côtes et celles de Corée.
La Chine est opposée à "toute provocation militaire", a déclaré jeudi le Premier ministre Wen Jiabao, sans préciser à quoi il faisait référence.
Dans ce climat tendu, le ministre chinois des Affaires étrangères, Yang Jiechi, a reporté sa visite à Séoul prévue vendredi, officiellement pour un problème "d'emploi du temps". Pékin est l'une des rares soutiens dans le monde de la Corée du Nord.
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP - 25/11/2010 à 15:43
Banques: de nouveaux tests de résistance européens prévus en 2011
Une nouvelle série de tests de résistance sur les banques européennes va avoir lieu "courant 2011" avec des critères plus exigeants, a indiqué jeudi un dirigeant de la Commission européenne lors des entretiens de l'Autorité des Marchés Financiers (AMF) à Paris.
"Il va falloir recommencer les +stress tests+ (tests de résistance, ndlr). Il va y en avoir d'autres", a affirmé Jonathan Faull, directeur général de la Direction générale "Marché intérieur et Services" à Bruxelles.
"Vous pouvez vous attendre à des épreuves réellement exigeantes", a-t-il ajouté, après avoir indiqué, sous forme de boutade, que les tests de résistance publiés en juillet dernier n'avaient pas "résisté".
Il a toutefois réfuté tout lien avec la situation des banques irlandaises.
Les tests de résistance examinent la solidité du bilan des banques en les soumettant à divers scénarios de crise.
"On a toujours dit qu'on espérait qu'il y aurait des +stress tests+ de manière plus régulière maintenant. Donc on compte les faire de manière annuelle", a indiqué jeudi la porte-parole du commissaire européen en charge des services financiers Michel Barnier, lors d'un point de presse à Bruxelles.
Photographe : Eric Piermont, AFP :
LSur 91 banques soumises à cet examen en Europe, cinq établissements espagnols, un allemand et un grec avaient échoué et devaient par conséquent, renforcer leur solidité financière.
A l'occasion de l'annonce du plan d'aide à l'Irlande, quelques critiques se sont élevées au sujet de ces tests qui avaient conclu que les deux établissements irlandais soumis à l'exercice, Allied Irish Banks (AIB) et Bank of Ireland, avaient passé l'obstacle avec succès.
Les réserves portaient essentiellement sur les hypothèses retenues concernant l'évolution du marché immobilier irlandais, qui auraient été jugées trop optimistes.
La banque Anglo Irish, qui a été renflouée par l'Etat irlandais à hauteur de 29 milliards d'euros et pèse pour plus des deux-tiers de la facture totale associés aux établissements irlandais, n'avait pas été testée.
Interrogé par l'AFP, le Comité des régulateurs bancaires européens (CEBS) a confirmé que des tests étaient "en préparation", mais qu'il était encore trop tôt pour en dire plus.
"On est en train de travailler maintenant avec le CEBS sur la méthodologie pour l'année prochaine", a confirmé la porte-parole de M. Barnier. La Commission "compte tirer toutes les leçons des tests de cette année pour améliorer la méthodologie" qui sera utilisée pour le prochain exercice, a-t-elle ajouté.
Le CEBS a précisé que ces tests étaient prévus dans le mandat de la nouvelle autorité de supervision bancaire paneuropéenne, l'European banking authority (EBA), dont la création a été entérinée fin septembre par le Parlement européen.
"L'année prochaine, ce sera l'EBA (European banking authority) qui remplacera le CEBS et qui sera en charge de conduire ces stress tests, avec la participation très active de la Commission", a ajouté la porte-parole.
Banques: de nouveaux tests de résistance européens prévus en 2011
Une nouvelle série de tests de résistance sur les banques européennes va avoir lieu "courant 2011" avec des critères plus exigeants, a indiqué jeudi un dirigeant de la Commission européenne lors des entretiens de l'Autorité des Marchés Financiers (AMF) à Paris.
"Il va falloir recommencer les +stress tests+ (tests de résistance, ndlr). Il va y en avoir d'autres", a affirmé Jonathan Faull, directeur général de la Direction générale "Marché intérieur et Services" à Bruxelles.
"Vous pouvez vous attendre à des épreuves réellement exigeantes", a-t-il ajouté, après avoir indiqué, sous forme de boutade, que les tests de résistance publiés en juillet dernier n'avaient pas "résisté".
Il a toutefois réfuté tout lien avec la situation des banques irlandaises.
Les tests de résistance examinent la solidité du bilan des banques en les soumettant à divers scénarios de crise.
"On a toujours dit qu'on espérait qu'il y aurait des +stress tests+ de manière plus régulière maintenant. Donc on compte les faire de manière annuelle", a indiqué jeudi la porte-parole du commissaire européen en charge des services financiers Michel Barnier, lors d'un point de presse à Bruxelles.
Photographe : Eric Piermont, AFP :
LSur 91 banques soumises à cet examen en Europe, cinq établissements espagnols, un allemand et un grec avaient échoué et devaient par conséquent, renforcer leur solidité financière.
A l'occasion de l'annonce du plan d'aide à l'Irlande, quelques critiques se sont élevées au sujet de ces tests qui avaient conclu que les deux établissements irlandais soumis à l'exercice, Allied Irish Banks (AIB) et Bank of Ireland, avaient passé l'obstacle avec succès.
Les réserves portaient essentiellement sur les hypothèses retenues concernant l'évolution du marché immobilier irlandais, qui auraient été jugées trop optimistes.
La banque Anglo Irish, qui a été renflouée par l'Etat irlandais à hauteur de 29 milliards d'euros et pèse pour plus des deux-tiers de la facture totale associés aux établissements irlandais, n'avait pas été testée.
Interrogé par l'AFP, le Comité des régulateurs bancaires européens (CEBS) a confirmé que des tests étaient "en préparation", mais qu'il était encore trop tôt pour en dire plus.
"On est en train de travailler maintenant avec le CEBS sur la méthodologie pour l'année prochaine", a confirmé la porte-parole de M. Barnier. La Commission "compte tirer toutes les leçons des tests de cette année pour améliorer la méthodologie" qui sera utilisée pour le prochain exercice, a-t-elle ajouté.
Le CEBS a précisé que ces tests étaient prévus dans le mandat de la nouvelle autorité de supervision bancaire paneuropéenne, l'European banking authority (EBA), dont la création a été entérinée fin septembre par le Parlement européen.
"L'année prochaine, ce sera l'EBA (European banking authority) qui remplacera le CEBS et qui sera en charge de conduire ces stress tests, avec la participation très active de la Commission", a ajouté la porte-parole.
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP - 25/11/2010 à 15:16
Sarlat, le premier marché au gros de truffes du grand Sud-Ouest
Trente deux kilos de truffes noires ont trouvé preneur en une demi heure mercredi sous les arcades de la mairie de Sarlat (Dordogne), à l'ouverture officielle du premier marché de gros du grand Sud-Ouest, devenu le troisième plus côté en France.
A 14H30 très précisément, deux coups de sifflet donnent le coup d'envoi de ce marché réservé exclusivement aux professionnels (négociants, restaurateurs et conserveurs).
Lors d'un premier passage, chacun d'entre-eux jauge d'un rapide coup d'oeil les paniers derrière lesquels se tiennent les 25 trufficulteurs venus participer à ce marché qui, un an après sa création, s'est déjà imposé comme un marché de référence pour la profession.
Les acheteurs, quasiment aussi nombreux que les vendeurs, prennent ensuite le temps de venir toucher et sentir, d'une geste sûr et professionnel, les lots qui contiennent tous un poids variable de truffes du Périgord noir, vendues lavées ou bien en terre.
Photographe : Jean-Pierre Muller, AFP :
Deux producteurs vendent leurs truffes au marché de Sarlat, le 24 novembre 2010
Une demi-heure plus tard, quelque 32 kg de truffes noires trouvent preneur pour un prix moyen de 230 euros le kilo. "Aujourd'hui, cela a un peu traîné car la qualité n'est pas encore là", reconnaît Jacques Coudon, un "truffeur", venu de Daglan (Dordogne) en repartant avec un chèque de 60 euros pour un lot de 300 g.
"C'est le début de la saison des truffes, la qualité n'est pas bonne, elles sont blanches", souligne pour sa part Jean-Marie Pechmajou, qui a tout de même vendu son lot de fameux champignon, 1,3 kg de tuber melanosporum au prix de 300 euros le kilo, une offre qu'il qualifie cependant de "correcte".
"Plus les semaines vont passer et plus les prix vont augmenter car, d'une part, le froid va améliorer leur maturité et leur parfum et, d'autre part, la demande va augmenter avant les fêtes", assure Jean-Jacques Gilet, un négociant sarladais.
Pour ce premier marché, le cours de la truffe s'est aligné sur celui des marchés de Carpentras ou Richerences, dans le Vaucluse, qui sont la référence au niveau français.
"Jusque-là, la Dordogne avait beaucoup de marchés pour les particuliers, je suis content de ce marché de Sarlat, qui est devenu le troisième plus côté en France, car cela nous évite de suivre tous les petits marchés", explique Thierry Chanteloube, le plus gros négociant de la place périgourdine, qui parcourt régulièrement toute l'Europe à la recherche du précieux diamant noir.
Selon lui, "les professionnels avaient jusque-là tendance à délaisser le Périgord, où les prix pratiqués sur les marchés aux particuliers étaient opaques, au profit du Vaucluse".
Une grande partie des producteurs se montre également satisfaite, pour qui cela "évite de faire trop de route et permet de se débarrasser de tout d'un coup et à un bon prix".
"C'est vite vendu", se félicite Eloi Aynaud, agriculteur et trufficulteur à Saint-Cyprien (Dordogne), tout en soulignant que, pour l'ensemble de la profession, les marchés permettent d'écouler environ un tiers de la production, le reste se faisant par le biais de la vente directe aux particuliers, restaurateurs, négociants ou conserveurs.
Sarlat, le premier marché au gros de truffes du grand Sud-Ouest
Trente deux kilos de truffes noires ont trouvé preneur en une demi heure mercredi sous les arcades de la mairie de Sarlat (Dordogne), à l'ouverture officielle du premier marché de gros du grand Sud-Ouest, devenu le troisième plus côté en France.
A 14H30 très précisément, deux coups de sifflet donnent le coup d'envoi de ce marché réservé exclusivement aux professionnels (négociants, restaurateurs et conserveurs).
Lors d'un premier passage, chacun d'entre-eux jauge d'un rapide coup d'oeil les paniers derrière lesquels se tiennent les 25 trufficulteurs venus participer à ce marché qui, un an après sa création, s'est déjà imposé comme un marché de référence pour la profession.
Les acheteurs, quasiment aussi nombreux que les vendeurs, prennent ensuite le temps de venir toucher et sentir, d'une geste sûr et professionnel, les lots qui contiennent tous un poids variable de truffes du Périgord noir, vendues lavées ou bien en terre.
Photographe : Jean-Pierre Muller, AFP :
Deux producteurs vendent leurs truffes au marché de Sarlat, le 24 novembre 2010
Une demi-heure plus tard, quelque 32 kg de truffes noires trouvent preneur pour un prix moyen de 230 euros le kilo. "Aujourd'hui, cela a un peu traîné car la qualité n'est pas encore là", reconnaît Jacques Coudon, un "truffeur", venu de Daglan (Dordogne) en repartant avec un chèque de 60 euros pour un lot de 300 g.
"C'est le début de la saison des truffes, la qualité n'est pas bonne, elles sont blanches", souligne pour sa part Jean-Marie Pechmajou, qui a tout de même vendu son lot de fameux champignon, 1,3 kg de tuber melanosporum au prix de 300 euros le kilo, une offre qu'il qualifie cependant de "correcte".
"Plus les semaines vont passer et plus les prix vont augmenter car, d'une part, le froid va améliorer leur maturité et leur parfum et, d'autre part, la demande va augmenter avant les fêtes", assure Jean-Jacques Gilet, un négociant sarladais.
Pour ce premier marché, le cours de la truffe s'est aligné sur celui des marchés de Carpentras ou Richerences, dans le Vaucluse, qui sont la référence au niveau français.
"Jusque-là, la Dordogne avait beaucoup de marchés pour les particuliers, je suis content de ce marché de Sarlat, qui est devenu le troisième plus côté en France, car cela nous évite de suivre tous les petits marchés", explique Thierry Chanteloube, le plus gros négociant de la place périgourdine, qui parcourt régulièrement toute l'Europe à la recherche du précieux diamant noir.
Selon lui, "les professionnels avaient jusque-là tendance à délaisser le Périgord, où les prix pratiqués sur les marchés aux particuliers étaient opaques, au profit du Vaucluse".
Une grande partie des producteurs se montre également satisfaite, pour qui cela "évite de faire trop de route et permet de se débarrasser de tout d'un coup et à un bon prix".
"C'est vite vendu", se félicite Eloi Aynaud, agriculteur et trufficulteur à Saint-Cyprien (Dordogne), tout en soulignant que, pour l'ensemble de la profession, les marchés permettent d'écouler environ un tiers de la production, le reste se faisant par le biais de la vente directe aux particuliers, restaurateurs, négociants ou conserveurs.
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Je l'avais ratée celle-là...saintluc a écrit :AFP - 20/11/2010 à 16:31
Italie: une truffe blanche de 100.000 euros à la cantine des pauvres
Plusieurs dizaines de pauvres ont pu goûter samedi à la cantine populaire de la Caritas, une organisation caritative catholique, des plats confectionnés avec une truffe blanche d'une valeur de 100.000 euros, don du pape Benoît XVI, a rapporté un religieux.
Photographe : Filippo Monteforte, AFP :
Une truffe blanche de 900 grammes, vendue 105.000 euros le 14 novembre 2010, exposée à Alba, en Italie
"Elle suffira pour tous, elle est vraiment énorme. Nous savons qu'au cours d'une vente aux enchères caritative elle a été payée 100.000 euros", a déclaré Mgr Enrico Feroci, directeur de la Caritas pour le diocèse de Rome, cité par l'agence Ansa.
La truffe blanche d'un kilo environ a été achetée par un entrepreneur du nord de l'Italie, Antonio Bertolotto, qui en a fait don au pape Benoît XVI. Ce dernier à son tour l'a donné à la Caritas romaine, au grand bonheur des pauvres de la capitale italienne.
Du riz à la truffe a été servi à des dizaines de pauvres à midi dans une cantine de la Caritas et ce qu'il en reste sera servi dans la soirée dans une seconde cantine de l'organisation caritative.
Il y a 5 jours, une truffe blanche de 900 grammes avait été achetée pour 105.000 euros par une critique de vins sud-coréenne demeurant à Hong Kong, lors d'une mise aux enchères à Alba, dans le nord de l'Italie.
Pourquoi ne pas l'avoir revendue 100000 Euros pour nourrir plus de pauvres plus longtemps ???
Mais quelle bêtise de leur faire bouffer ça !!!
On en fait des choses avec 100000 Euros !
"Le prix de la liberté, c'est la vigilance éternelle."
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
à se demander jusqu'où la connerie peut-aller?
Mais nous savions que le pape devenait gaga
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
J'en reviens juste pas.saintluc a écrit :à se demander jusqu'où la connerie peut-aller?
Mais nous savions que le pape devenait gaga
Quelle connerie...quelle insulte pour ceux qui donnent aux pauvres.
Hos...de ta.
Là forcez vs un peu j'ai hâte:
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Voici un reportage hyper intéressant, réalisé par un journaliste français qui s'est fait passer pour un touriste en Corée du Nord.
voici un excellent reportage d,un journaliste français:
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Merci à toi pour ce doc
Si tu en as d'autres, n'hésites pas et il t'est possible d'en mettre sur la boite à clous. Tu en trouveras chaque jour ; des reportages d'envoyés spéciaux.
Donc deux possibilités de poster
Si tu en as d'autres, n'hésites pas et il t'est possible d'en mettre sur la boite à clous. Tu en trouveras chaque jour ; des reportages d'envoyés spéciaux.
Donc deux possibilités de poster
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