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- Liz.22
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Conseils antigrippe à suivre...
Manger sainement quotidiennement, fruits et légumes
Un petit extra en vitamines C, ne fait pas de tort
Faire de l'exercice pour se maintenir en forme et aider à construire son système immunitaire
Marcher au moins une demi-heure par jour
Prendre l'escalier plutôt que l'ascenseur
Se laver souvent les mains
Prendre l'air
ouvrir portes et fenêtres le plus possible
Essayer d'éliminer le stress
de notre vie courante en se reposant suffisamment
Où...
Suivre l'avis du doc car pensez-y... quand vous allez pour la piqûre, que fait-on en 1er?
On "nettoie " notre bras avec de l'alcool... Pourquoi?
PARCE QUE L'ALCOOL TUE LES BACTÉRIES! DONC...
Je me rends jusqu'à la SAQ...
(PROMENADE)
Je verse du vin dans mon verre...
(FRUITS)
Je mets un céleri dans mon Bloody Mary...
(LÉGUMES)
Je le bois dehors, sur la terrasse...
(PLEIN AIR)
Je raconte des blagues, je ris...
(ANTISTRESS)
Puis je tombe endormi...
(REPOS)
ALORS, tout bien considéré...
Tant qu'on tient l'alcool en vue,
La grippe n'a pas de prise sur nous!
D'ailleurs, à ce propos, disait toujours ma grand-mère :
"Un p'tit coup dans l'nez, vaut mieux qu'une piqûre dans le cul !"
(Excusez-là...!) À votre santé !!!
Manger sainement quotidiennement, fruits et légumes
Un petit extra en vitamines C, ne fait pas de tort
Faire de l'exercice pour se maintenir en forme et aider à construire son système immunitaire
Marcher au moins une demi-heure par jour
Prendre l'escalier plutôt que l'ascenseur
Se laver souvent les mains
Prendre l'air
ouvrir portes et fenêtres le plus possible
Essayer d'éliminer le stress
de notre vie courante en se reposant suffisamment
Où...
Suivre l'avis du doc car pensez-y... quand vous allez pour la piqûre, que fait-on en 1er?
On "nettoie " notre bras avec de l'alcool... Pourquoi?
PARCE QUE L'ALCOOL TUE LES BACTÉRIES! DONC...
Je me rends jusqu'à la SAQ...
(PROMENADE)
Je verse du vin dans mon verre...
(FRUITS)
Je mets un céleri dans mon Bloody Mary...
(LÉGUMES)
Je le bois dehors, sur la terrasse...
(PLEIN AIR)
Je raconte des blagues, je ris...
(ANTISTRESS)
Puis je tombe endormi...
(REPOS)
ALORS, tout bien considéré...
Tant qu'on tient l'alcool en vue,
La grippe n'a pas de prise sur nous!
D'ailleurs, à ce propos, disait toujours ma grand-mère :
"Un p'tit coup dans l'nez, vaut mieux qu'une piqûre dans le cul !"
(Excusez-là...!) À votre santé !!!
Les vrais amis viennent dans les bons moments quand on les appelle
et dans les mauvais moments, ils viennent d'eux-mêmes.
et dans les mauvais moments, ils viennent d'eux-mêmes.
- grumpythedwarf
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- Liz.22
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grumpythedwarf
"Une grippe, ça se guérit en huit jours si on se soigne,
et en une petite semaine si on ne fait rien"
Raymond Devos.
Ben voyons donc toi tu es sérieux!
Et Raymond Devos il n'a pas écrit quelque chose aussi au sujet des grincheux qui ont le sens de l'humour!
Dernière modification par Liz.22 le dim. juil. 25, 2010 3:28 pm, modifié 2 fois.
- poussiere d'étoiles
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- Liz.22
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- saintluc
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- Localisation : Macabanaufondujardin france
Nicolas demande à un copain :
- Qu'est-ce que ça veut dire : I don't know ?
Et l'autre répond :
- Je ne sais pas !
Au restaurant, un Monsieur s'écrit :
- Garçon, il y a une mouche qui nage dans mon assiette.
- Oh, c'est encore le chef qui a mis trop de potage. D'habitude, elles ont pieds !
Un homme tend un verre d'aspirine à sa femme.
- Mais je n'ai pas la migraine
- Ah, alors on peut faire l'amour
- Qu'est-ce que ça veut dire : I don't know ?
Et l'autre répond :
- Je ne sais pas !
Au restaurant, un Monsieur s'écrit :
- Garçon, il y a une mouche qui nage dans mon assiette.
- Oh, c'est encore le chef qui a mis trop de potage. D'habitude, elles ont pieds !
Un homme tend un verre d'aspirine à sa femme.
- Mais je n'ai pas la migraine
- Ah, alors on peut faire l'amour
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
- saintluc
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- Localisation : Macabanaufondujardin france
- Liz.22
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Bonne lecture c'est vraiment beau!
La bonne action...
J'étais à l'épicerie du coin en train d'acheter des pommes de terre
nouvelles. J'ai remarqué un petit garçon, d'ossature délicate,
pauvrement vêtu, mais propre, regardant avec envie un panier de fèves
vertes fraichement cueillies.
J'avais déjà payé pour mes pommes de terre, mais je me suis arrêté aux
fèves vertes. J'adore la soupe aux fèves et aux patates. Choisissant des
fèves, je ne pus m'empêcher d'entendre la conversation entre Monsieur
Miller (le propriétaire du magasin) et le pauvre garçon qui était à côté
de moi.
« Allo Barry, comment vas-tu aujourd'hui ? »
« Allo M. Miller, ça va bien merci, j'étais juste en train d'admirer vos
fèves. Elles ont l'air vraiment très bonnes. »
« Elles sont bonnes Barry. Comment va ta mère ? »
« Bien. Elle n'arrête pas de prendre du mieux. »
« Bien. Puis-je faire quelque chose pour toi ? »
« Non Monsieur, je ne faisais qu'admirer ces fèves. »
« Voudrais-tu en rapporter à la maison ? » demanda M. Miller.
« Non Monsieur, je n'ai rien pour les payer. »
« Et bien, que pourrais me donner en échange de quelques fèves ? »
« Tout ce que j'ai, c'est ma précieuse bille que voici. »
« C'est une vraie ? Laisse-moi la voir. » dis M. Miller
« Voici, elle est de qualité. »
« Oui, je peux voir ça. Hmmmm, la seule chose c'est qu'elle est bleue et
j'en recherche une rouge vif. En as-tu une rouge comme ça chez toi ? »
« Pas rouge vif, mais presque... »
Tu sais quoi, ramènes ce sac de fèves avec toi à la maison et quand tu
repasseras dans le coin, tu me montreras cette bille rouge » lui dit
M... Miller. « Bien sûr M. Miller. Merci. »
Madame Miller, qui était debout juste à côté, est venue pour m'aider...
Avec un sourire, elle a dit « Il y a 2 autres garçons comme lui dans
notre quartier, les trois sont dans des conditions vraiment précaires.
Jim adore marchander avec eux pour des fèves, des pommes, des tomates ou
n'importe quoi d'autre. Lorsqu'ils reviennent avec leurs billes rouges,
et ils le font toujours, Jim décide que finalement il ne veut plus de
rouge et les renvoie chez eux avec un sac d'une autre marchandise en
échange d'une bille verte ou une orange, lorsqu'ils reviendront au
magasin. »
J'ai quitté le magasin avec un sourire au coeur, impressionné par cet
homme. Peu de temps après je suis déménagé au Colorado, mais je n'avais
jamais oublié l'histoire de cet homme, les garçons et leurs marchandages
de billes.
Plusieurs années passèrent, chacune plus rapidement que les précédentes.
Récemment j'ai eu l'occasion de visiter de vieux amis dans ce quartier
de l'Idaho et pendant que j'y étais, ce M. Miller est décédé.
Il y avait les funérailles ce soir-là et je sachant que mes amis
désiraient s'y rendre, je les ai accompagnés. À notre arrivée au salon,
nous étions dans une ligne pour rencontrer les personnes éprouvées et
leur offrir nos sympathies.
Devant nous dans la ligne il y avait trois jeunes hommes. L'un d'eux
était en uniforme d'armée et les deux autres hommes étaient bien coiffé,
en habits noirs et chemises blanches... tous paraissant vraiment bien.
Ils s'approchèrent de Madame Miller, qui était debout calme et souriante
à côté du cercueil de son mari. Chacun des trois jeunes hommes lui fit
une caresse, l'embrassa sur la joue, lui parla brièvement et s'approcha
du cercueil.
Ses yeux bleus clairs rougis les suivirent et, un par un, chacun des
jeunes hommes s'arrêta brièvement et metta leur main tout au-dessus de
la main pâle et froide dans le cercueil. Chacun d'eux sortit
maladroitement du salon, en essuyant leurs yeux.
C'était notre tour de rencontrer Mme Miller. Je lui ai dit qui j'étais
et lui rappela l'histoire d'il y avait longtemps et ce qu'elle m'avait
raconté concernant les marchandages de billes. Avec ses yeux brillants,
elle prit ma main et me conduit au cercueil.
« Ces trois jeunes hommes qui viennent juste de quitter étaient les
garçons dont je vous parlais. Ils viennent tout juste de me dire combien
ils avaient apprécié la façon dont Jim les "marchandait". Maintenant,
finalement, puisque Jim ne pouvait plus changer d'idée concernant la
couleur ou la grosseur de la bille... ils sont venus payer leur dette. »
« Nous n'avons jamais eu l'occasion de faire fortune dans ce monde" me
confia t'elle « Mais présentement, Jim se serait considéré comme l'homme
le plus riche de l'Idaho. »
Avec tendresse, elle leva les doigts de son mari décédé. En dessous de
sa main se trouvaient trois billes d'un rouge éclatant.
La morale: On ne se souviendra pas de nous par nos paroles, mais par nos
bonnes actions... La vie ne se mesure pas par le nombre de respirations
que nous prenons, mais par les moments qui font que l'on retient notre
respiration...
La bonne action...
J'étais à l'épicerie du coin en train d'acheter des pommes de terre
nouvelles. J'ai remarqué un petit garçon, d'ossature délicate,
pauvrement vêtu, mais propre, regardant avec envie un panier de fèves
vertes fraichement cueillies.
J'avais déjà payé pour mes pommes de terre, mais je me suis arrêté aux
fèves vertes. J'adore la soupe aux fèves et aux patates. Choisissant des
fèves, je ne pus m'empêcher d'entendre la conversation entre Monsieur
Miller (le propriétaire du magasin) et le pauvre garçon qui était à côté
de moi.
« Allo Barry, comment vas-tu aujourd'hui ? »
« Allo M. Miller, ça va bien merci, j'étais juste en train d'admirer vos
fèves. Elles ont l'air vraiment très bonnes. »
« Elles sont bonnes Barry. Comment va ta mère ? »
« Bien. Elle n'arrête pas de prendre du mieux. »
« Bien. Puis-je faire quelque chose pour toi ? »
« Non Monsieur, je ne faisais qu'admirer ces fèves. »
« Voudrais-tu en rapporter à la maison ? » demanda M. Miller.
« Non Monsieur, je n'ai rien pour les payer. »
« Et bien, que pourrais me donner en échange de quelques fèves ? »
« Tout ce que j'ai, c'est ma précieuse bille que voici. »
« C'est une vraie ? Laisse-moi la voir. » dis M. Miller
« Voici, elle est de qualité. »
« Oui, je peux voir ça. Hmmmm, la seule chose c'est qu'elle est bleue et
j'en recherche une rouge vif. En as-tu une rouge comme ça chez toi ? »
« Pas rouge vif, mais presque... »
Tu sais quoi, ramènes ce sac de fèves avec toi à la maison et quand tu
repasseras dans le coin, tu me montreras cette bille rouge » lui dit
M... Miller. « Bien sûr M. Miller. Merci. »
Madame Miller, qui était debout juste à côté, est venue pour m'aider...
Avec un sourire, elle a dit « Il y a 2 autres garçons comme lui dans
notre quartier, les trois sont dans des conditions vraiment précaires.
Jim adore marchander avec eux pour des fèves, des pommes, des tomates ou
n'importe quoi d'autre. Lorsqu'ils reviennent avec leurs billes rouges,
et ils le font toujours, Jim décide que finalement il ne veut plus de
rouge et les renvoie chez eux avec un sac d'une autre marchandise en
échange d'une bille verte ou une orange, lorsqu'ils reviendront au
magasin. »
J'ai quitté le magasin avec un sourire au coeur, impressionné par cet
homme. Peu de temps après je suis déménagé au Colorado, mais je n'avais
jamais oublié l'histoire de cet homme, les garçons et leurs marchandages
de billes.
Plusieurs années passèrent, chacune plus rapidement que les précédentes.
Récemment j'ai eu l'occasion de visiter de vieux amis dans ce quartier
de l'Idaho et pendant que j'y étais, ce M. Miller est décédé.
Il y avait les funérailles ce soir-là et je sachant que mes amis
désiraient s'y rendre, je les ai accompagnés. À notre arrivée au salon,
nous étions dans une ligne pour rencontrer les personnes éprouvées et
leur offrir nos sympathies.
Devant nous dans la ligne il y avait trois jeunes hommes. L'un d'eux
était en uniforme d'armée et les deux autres hommes étaient bien coiffé,
en habits noirs et chemises blanches... tous paraissant vraiment bien.
Ils s'approchèrent de Madame Miller, qui était debout calme et souriante
à côté du cercueil de son mari. Chacun des trois jeunes hommes lui fit
une caresse, l'embrassa sur la joue, lui parla brièvement et s'approcha
du cercueil.
Ses yeux bleus clairs rougis les suivirent et, un par un, chacun des
jeunes hommes s'arrêta brièvement et metta leur main tout au-dessus de
la main pâle et froide dans le cercueil. Chacun d'eux sortit
maladroitement du salon, en essuyant leurs yeux.
C'était notre tour de rencontrer Mme Miller. Je lui ai dit qui j'étais
et lui rappela l'histoire d'il y avait longtemps et ce qu'elle m'avait
raconté concernant les marchandages de billes. Avec ses yeux brillants,
elle prit ma main et me conduit au cercueil.
« Ces trois jeunes hommes qui viennent juste de quitter étaient les
garçons dont je vous parlais. Ils viennent tout juste de me dire combien
ils avaient apprécié la façon dont Jim les "marchandait". Maintenant,
finalement, puisque Jim ne pouvait plus changer d'idée concernant la
couleur ou la grosseur de la bille... ils sont venus payer leur dette. »
« Nous n'avons jamais eu l'occasion de faire fortune dans ce monde" me
confia t'elle « Mais présentement, Jim se serait considéré comme l'homme
le plus riche de l'Idaho. »
Avec tendresse, elle leva les doigts de son mari décédé. En dessous de
sa main se trouvaient trois billes d'un rouge éclatant.
La morale: On ne se souviendra pas de nous par nos paroles, mais par nos
bonnes actions... La vie ne se mesure pas par le nombre de respirations
que nous prenons, mais par les moments qui font que l'on retient notre
respiration...
Les vrais amis viennent dans les bons moments quand on les appelle
et dans les mauvais moments, ils viennent d'eux-mêmes.
et dans les mauvais moments, ils viennent d'eux-mêmes.
-
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- Inscription : sam. avr. 17, 2010 10:43 pm
- Localisation : montreal
liz22 j'ai bien aimer ton histoire c'est une tres belle morale pour te remercier de l'avoir partager
tient un bouquet pour toi
<a href="http://www.sweetim.com/s.asp?im=gen&lpver=3&ref=11" target="_blank"><img src="http://cdn.content.sweetim.com/sim/cpie/emoticons/00020322.gif" border="0" title="Click to get more."></a>
meme si y en a qui trouve ca teteux
tient un bouquet pour toi
<a href="http://www.sweetim.com/s.asp?im=gen&lpver=3&ref=11" target="_blank"><img src="http://cdn.content.sweetim.com/sim/cpie/emoticons/00020322.gif" border="0" title="Click to get more."></a>
meme si y en a qui trouve ca teteux
ca passe ou ca casse.
la bonne humeur excessive
et bien c'est moi lol
la bonne humeur excessive
et bien c'est moi lol
- Liz.22
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- Inscription : mer. févr. 17, 2010 12:48 am
- Auréllia
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- Inscription : sam. juil. 17, 2010 12:58 pm
- Localisation : Picardie France
Bonjour
C’est un homme qui après cinq ans de vie avec sa copine décide de se marier, mais il ne connaît pas trop les coutumes à propos de l’offrande au prêtre, alors a la fin du mariage, il en parle au prêtre qui lui dit :
- En faite plus la mariée est jolie plus c’est cher !
Alors, le jeune homme regarde sa copine, met la main dans sa poche et sort une pièce de 1 euro.
Le prêtre dit alors :
- Attendez ! Je vous rends la monnaie.
C’est un homme qui après cinq ans de vie avec sa copine décide de se marier, mais il ne connaît pas trop les coutumes à propos de l’offrande au prêtre, alors a la fin du mariage, il en parle au prêtre qui lui dit :
- En faite plus la mariée est jolie plus c’est cher !
Alors, le jeune homme regarde sa copine, met la main dans sa poche et sort une pièce de 1 euro.
Le prêtre dit alors :
- Attendez ! Je vous rends la monnaie.
La vie est belle alors profitons-en...
-
- niveau4
- Messages : 3708
- Inscription : sam. avr. 17, 2010 10:43 pm
- Localisation : montreal
Le prêtre dit alors :
- Attendez ! Je vous rends la monnaie.
<a href="http://www.sweetim.com/s.asp?im=gen&lpver=3&ref=11" target="_blank"><img src="http://cdn.content.sweetim.com/sim/cpie/emoticons/00020264.gif" border="0" title="Click to get more."></a>
economiquement drole
- Attendez ! Je vous rends la monnaie.
<a href="http://www.sweetim.com/s.asp?im=gen&lpver=3&ref=11" target="_blank"><img src="http://cdn.content.sweetim.com/sim/cpie/emoticons/00020264.gif" border="0" title="Click to get more."></a>
economiquement drole
ca passe ou ca casse.
la bonne humeur excessive
et bien c'est moi lol
la bonne humeur excessive
et bien c'est moi lol
- Auréllia
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- Inscription : sam. juil. 17, 2010 12:58 pm
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- Inscription : sam. avr. 17, 2010 10:43 pm
- Localisation : montreal
Auréllia a écrit :Pourquoi a-t-on surnommé Pamela Anderson "la station service" ? :
Pour les jambes : c'est ordinaire.
Pour la poitrine : c'est super.
Et pour la tête : c'est sans plomb!
Oui je sais c'est pas terrible, mais tant pis
Bonne soirée à tous et à bientôt
moi je l'aime bien ( sans plonb ) est trop drole <a href="http://www.sweetim.com/s.asp?im=gen&lpver=3&ref=11" target="_blank"><img src="http://cdn.content.sweetim.com/sim/cpie/emoticons/0002031E.gif" border="0" title="Click to get more."></a>
ca passe ou ca casse.
la bonne humeur excessive
et bien c'est moi lol
la bonne humeur excessive
et bien c'est moi lol
- Auréllia
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- Inscription : sam. juil. 17, 2010 12:58 pm
- Localisation : Picardie France
Cool Le Sentinelle t'adores mes blagues
Une petite pour la route pis je file manger
C’est un mec la tronche amochée qui rencontre un de ses copains :
-Qu’est-ce qui t’est arrivé, t’es drôlement amoché ?
- J’me suis pris un coup de gigot congelé dans la tronche…
- Bah mince ! Comment ça t’est arrivé ?
- C’est hier, y a ma femme qu’était en mini jupe, elle se penchait dans le
congélateur pour prendre quelque chose alors j’sais pas c’qui m’a pris, j’ai pas pu résister, je l’ai prise par derrière…
- Mince alors!
- Ouais, elle gueulait comme une vache, alors je continuais de plus belle…
- Mince alors!
- Ouais, en plus elle se débattait alors ça m’excitait encore plus…
- Tu m’étonnes!
- Puis à un moment elle a attrapé un gigot congelé puis elle m’en a mis un grand coup sur la tronche…
- Mince alors, elle aime pas faire l’amour ta femme ?
- Si.... mais pas au supermarché....
Une petite pour la route pis je file manger
C’est un mec la tronche amochée qui rencontre un de ses copains :
-Qu’est-ce qui t’est arrivé, t’es drôlement amoché ?
- J’me suis pris un coup de gigot congelé dans la tronche…
- Bah mince ! Comment ça t’est arrivé ?
- C’est hier, y a ma femme qu’était en mini jupe, elle se penchait dans le
congélateur pour prendre quelque chose alors j’sais pas c’qui m’a pris, j’ai pas pu résister, je l’ai prise par derrière…
- Mince alors!
- Ouais, elle gueulait comme une vache, alors je continuais de plus belle…
- Mince alors!
- Ouais, en plus elle se débattait alors ça m’excitait encore plus…
- Tu m’étonnes!
- Puis à un moment elle a attrapé un gigot congelé puis elle m’en a mis un grand coup sur la tronche…
- Mince alors, elle aime pas faire l’amour ta femme ?
- Si.... mais pas au supermarché....
La vie est belle alors profitons-en...