Pour en savoir un peu sur l'action de la cigarette et l'alcool sur le cerveau.
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arte tv drogues et cerveau-alcool et tabac
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arte tv drogues et cerveau-alcool et tabac
Dernière modification par leolo le ven. févr. 12, 2010 2:51 pm, modifié 1 fois.
- Melkor
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Citation du site dont tu as mis le lien :
''La dose qui initialement provoquait l’euphorie n’est plus aussi efficace, et les toxicomanes finissent par avoir besoin d’une injection ou d’une dose de drogue simplement pour se sentir normaux : sans cela, ils sont déprimés et souvent même malades. Puis ils ont besoin d’une dose après l’autre, à un rythme qui ne cesse de s’accélérer : c’est l’addiction, la dépendance.''
Ho que je connais cela. Heureusement pour moi ce n'est que le cannabis, probablement bien moins pire que des drogues qu'on s'injecte ou même bien d'autres drogues. Je n'ai pas besoin d'une dose après l'autre, mais si j'en ai chez moi (c'est à dire 99 jours sur 100), c'est très difficile de passer une journée complète sans en prendre. Et c'est vrai que le ''buzz'' est moins fort que dans les débuts de ma consommation. Genre le premier joint sert à me faire une base, et le deuxière me donne une sensation d'être gelé, alors qu'au début le premier me donnait déjà cette sensation.
Mais aujourd'hui c'est difficile pour quelqu'un qui est habitué d'en prendre d'arrêter. Tu vas dans un party? Quelqu'un te diras certainement '' si tu en as besoin en moment donné, je peux t'en vendre'', alors que tu connais déjà 4-5 vendeurs. C'est devenu presque plus facile d'avoir du cannabis que des cigarettes au Québec. Et les prix sont MOINS cher qu'il y a dix ans, malgré l'inflation, donc ça veux dire qu'il y a beaucoup de stock sur le marché (loi de l'offre et de la demande). Tu vas voir ta famille à Noel? Le joint se passe et le cousin qui s'offre pour te trouver du stock si jamais t'en as besoin. Party de la job? Même chose. Pour quelqu'un qui est assez accro comme moi, c'est difficile. Si je n'en entendais pas parler, quand j'aurais finis mon sac de pot, j'aurais de la misère pendant 1 semaine (dépendance), puis tout rentrerais dans l'ordre et je passerais à autre chose.
Par contre, objectivement, même si je sais que je suis assez accro, je n'ai pas l'impression de vivre un enfer. Je crois que je réussis ma vie assez bien sur la majorité des aspects, et pour moi le joint en revenant de la job est l'équivalent de la caisse de 6 pour bien d'autres (mais moi j'ai pas une bédaine hé hé). Je suis certain qu'il y a beaucoup ''d'émotions intellectuelles'' que je n'aurais pas connues sans cette consommation.
''La dose qui initialement provoquait l’euphorie n’est plus aussi efficace, et les toxicomanes finissent par avoir besoin d’une injection ou d’une dose de drogue simplement pour se sentir normaux : sans cela, ils sont déprimés et souvent même malades. Puis ils ont besoin d’une dose après l’autre, à un rythme qui ne cesse de s’accélérer : c’est l’addiction, la dépendance.''
Ho que je connais cela. Heureusement pour moi ce n'est que le cannabis, probablement bien moins pire que des drogues qu'on s'injecte ou même bien d'autres drogues. Je n'ai pas besoin d'une dose après l'autre, mais si j'en ai chez moi (c'est à dire 99 jours sur 100), c'est très difficile de passer une journée complète sans en prendre. Et c'est vrai que le ''buzz'' est moins fort que dans les débuts de ma consommation. Genre le premier joint sert à me faire une base, et le deuxière me donne une sensation d'être gelé, alors qu'au début le premier me donnait déjà cette sensation.
Mais aujourd'hui c'est difficile pour quelqu'un qui est habitué d'en prendre d'arrêter. Tu vas dans un party? Quelqu'un te diras certainement '' si tu en as besoin en moment donné, je peux t'en vendre'', alors que tu connais déjà 4-5 vendeurs. C'est devenu presque plus facile d'avoir du cannabis que des cigarettes au Québec. Et les prix sont MOINS cher qu'il y a dix ans, malgré l'inflation, donc ça veux dire qu'il y a beaucoup de stock sur le marché (loi de l'offre et de la demande). Tu vas voir ta famille à Noel? Le joint se passe et le cousin qui s'offre pour te trouver du stock si jamais t'en as besoin. Party de la job? Même chose. Pour quelqu'un qui est assez accro comme moi, c'est difficile. Si je n'en entendais pas parler, quand j'aurais finis mon sac de pot, j'aurais de la misère pendant 1 semaine (dépendance), puis tout rentrerais dans l'ordre et je passerais à autre chose.
Par contre, objectivement, même si je sais que je suis assez accro, je n'ai pas l'impression de vivre un enfer. Je crois que je réussis ma vie assez bien sur la majorité des aspects, et pour moi le joint en revenant de la job est l'équivalent de la caisse de 6 pour bien d'autres (mais moi j'ai pas une bédaine hé hé). Je suis certain qu'il y a beaucoup ''d'émotions intellectuelles'' que je n'aurais pas connues sans cette consommation.
Merci cela va être plus facile que l'orignal qui coure pour trouver mes sujets.Melkor a écrit :Je l'ai copié du texte dans le site dont tu as mis le lien, et j'ai choisi une autre couleur pour montrer que c'était ça la citation.
En passant, pas pire ton nouvel avatar.
![;) ;)](./images/smilies/wink.gif)
En plus j'aime bien ce système que je découvres de plus en plus.