Le suicide
Message
L'espoir qui vient de soi des fois est le seule moyen qui fait que sans les autres. On a un autre jours.
Et qui nous fait réaliser que dans ce moment ultime, que l'on ne doit rien à personne. Et on a un autre jours.
On peut penser qu'ils sont insatisfait, mais dans le fond ce sont des passionnés. Et on a un autre jours.
Il y en a qui peuvent dire ils n'ont rien et ils ne savent pas ce qu'est d'aimer inconditionnellement. Pour donner un autre jours.
Et qui nous fait réaliser que dans ce moment ultime, que l'on ne doit rien à personne. Et on a un autre jours.
On peut penser qu'ils sont insatisfait, mais dans le fond ce sont des passionnés. Et on a un autre jours.
Il y en a qui peuvent dire ils n'ont rien et ils ne savent pas ce qu'est d'aimer inconditionnellement. Pour donner un autre jours.
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L'action
Quelques fois, lorsque je suis seul, j’imagine toute sorte de situation dans lesquelles je me donne la mort. J’ignore pourquoi, mais j’ai un plaisir à le faire, ça me libère, ça me fait du bien.
Perché sur le toit d’un gratte-ciel, dos au paysage, les talons dans le vide et les bras ouvert en croix, tel un plongeur prêt à exécuter son saut, tout est, à ce moment précis, indifférent; je suis sur la corde raide entre vie et mort. J’ai le cœur qui veut me sortir de la poitrine. Je me calme et je me lance tête première, dos au sol (point de non-retour); Je n’arrive pas à croire que je l’ais fait. Mes yeux se noient dans le bleu du ciel. Je reste serein durant toute la chute, libéré. Ces dernières secondes de vie sont comme tirées d’un rêve.
Ma pensée est complètement absurde; mon corps veut vivre, mais mon âme a du plaisir à m’imaginer mourir. J’ai le pressentiment qu’il n’y a pas de raisons valables au suicide. C’est l’action qui me semble libératrice, invitante. C’est le seul moment où on peut être en total contrôle de soi puisque le corps veut à tout prix vivre (c’est l’objectif premier). On obéit plus à quoi que ce soit. On est en contradiction avec la vie.
N'ayez crainte, je ne paierai pas ma vie pour cette sensation.
Torlo
Perché sur le toit d’un gratte-ciel, dos au paysage, les talons dans le vide et les bras ouvert en croix, tel un plongeur prêt à exécuter son saut, tout est, à ce moment précis, indifférent; je suis sur la corde raide entre vie et mort. J’ai le cœur qui veut me sortir de la poitrine. Je me calme et je me lance tête première, dos au sol (point de non-retour); Je n’arrive pas à croire que je l’ais fait. Mes yeux se noient dans le bleu du ciel. Je reste serein durant toute la chute, libéré. Ces dernières secondes de vie sont comme tirées d’un rêve.
Ma pensée est complètement absurde; mon corps veut vivre, mais mon âme a du plaisir à m’imaginer mourir. J’ai le pressentiment qu’il n’y a pas de raisons valables au suicide. C’est l’action qui me semble libératrice, invitante. C’est le seul moment où on peut être en total contrôle de soi puisque le corps veut à tout prix vivre (c’est l’objectif premier). On obéit plus à quoi que ce soit. On est en contradiction avec la vie.
N'ayez crainte, je ne paierai pas ma vie pour cette sensation.
Torlo