Je travaille pour une compagnie située à Dorval (milieu anglophone). La très grande majorité des employés sont d'origine ethnique autre que le Québec et/ou n'ont pas le français comme langue principale. Faut croire qu'ils ont fait une exeption à leurs règles d'embauche en m'embauchant
Ce que je peux dire, c'est que la grande majorité parle français, bien que la langue de travail est l'anglais. Ce que je déplore cependant, c'est que les immigrés font comme les anglophones, c'est-à-dire qu'ils se regroupent ensemble dans une même région. Ce n'est pas la définition que j'ai de l'intégration.
Si les immigrés s'installaient uniformément dans les différentes région du Québec, on ne tiendrait probablement pas ce discour alarmiste sur l'avenir de la langue et notre culture parce que l'intégration fonctionnerait mieux et ils seraient moins visible. Mais parce qu'ils sont en grande majorité tous regoupé sur l'ile de Montréal, ils sont très visible et ils s'intègrent très lentement.
Selon moi, Québec devrait instaurer une politique d'immigration basé sur la politique sur les médecins en région. C'est-à-dire qu'il faudrait donner des incitatives aux immigrés pour qu'ils s'installent en région et qu'ils y restent. Si les incitatives ne sont pas assez, qu'on les obligent à passer x années en région avant de déménager.