Chapitre 1
C'était par une de ses nuits d'hiver de Montréal. La lune était pleine, éclatante, le vent soufflait abondamment et le fond de l'air était glacial. "Vite, vite" me dis-je en marchant d'un pas pressé pour atteindre le bâtiment que l'on m'avait désigné.
Le bâtiment somme toute très ordinaire qui ne laissait présagé rien de spécial. Je me dis que c'était probablement une ancienne usine de textile maintenant désafectée. On m'avait dit que le bâtiment abandonné serait barricadé et que la seule porte menant à l'intérieur était situé au nord-est et serait cadenasée. J'empoignai la bar à clou que j'avais pris soins d'amener avec moi et commença a forcé le cadena. J'avais les mains gelées, et je due me reprendre à 3 fois avant que le cadenas ne cède. Soulagé de laisser le vent glacial derrière moi, j'entrai dans l'usine.
Il y faisait très froid, mais à tout le moins, je n'avais plus ce vent glacial dans la figure. Le courrier stipulait que j'y trouverait un livre d'une importance capital. Ce livre serait caché sous une des planches au sol et que je devais regarder du côté sud, un fois à l'intérieur. Cette usine mesurait dans les 10000 mètres carrés sur 20 mètres en hauteur. C'était très sombre mais je pouvais discerné l'endroit grâce à la lune étincelante qui pénétrait par les immenses fenêtre carrelées de l'usine ce soir là. J'entendais le vent sifflé dans les fenêtres brisées situées en hauteur dans l'usine. Le bruit des planches me rappelait que ce plancher n'avait pas été foulé depuis très longtemps. Je me dirigea d'un pas incertain vers le sud de l'usine.
Alors que j'arrivais près du but, je discerna une silhouette assise sur un très vieux fauteuil style Louis XVI. Je resta perplexe un moment puis pensa que c'était un mannequin. Je m'en approcha pour distinguer avec plus de détail la cape recouvrant ce personnage. Et soudainement, il leva la tête tranquillement et sa voix retenti : "Bonsoir M.Virtuose"
Stupéfait, je serra très fort ma bar à clou et fît un pas en arrière. "Je suis heureux de constater que vous aviez emmené le nécessaire pour le cadena. Toutefois, je suis surpris de constater que vous n'avez pas de lampe de poche. Mais comment avez-vous su ?" demanda-t-il.
"Mais enfin, de quoi parlez-vous ?" lui dis-je.
"Nous sommes la nuit, M.Virtuose, et la nuit dans un endroit abandonné on y apporte de la lumière" rétorqua-t-il.
"Heu...oui enfin, vous avez raison, je ne sais pas pourquoi je n'ai pas pensé à apporter ma lampe de poche." lui dis-je.
"Vous le découvrirai bientôt M.Virtuose." poursuiva-t-il.
"Oui bon d'accord, mais je ne suis pas içi pour ça, je cherche quelque chose, et comment pouvez-vous être içi si cette porte est cadenassée depuis des années ?" lui demandai-je.
Tranquillement, il fouilla dans ses vêtements et en sorti un livre.
"Est-ce bien ce que vous cherchez M.Virtuose ?" et enchaîna : "Je n'ai jamais sorti d'içi , depuis qu'ils ont fermé l'usine en 1913 ".
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Pour que je puisse continuer cette histoire fantastique, vous devez retrouvez la date à laquelle tout sera révélé, dans le roman le symbole perdu de Dan Brown, quelque part sur ce forum. Lorsque que quelqu'un trouvera. De deux choses l'une l'histoire continue et deux celui qui aura trouvé fera parti de l'histoire.
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