Ben j'ai eu 6 chums en 5ans, ça fait pas de moins une courailleuse ^^ Surtout que les premiers c'était juste des amourettes qui ont pas fonctionné...
Pourquoi ça te fais chier qu'ils parlent de leurs nombreuses ex, hein ?
Qu'est-ce que c'est vraiment "aimer"?
Message
-
Diane14
- niveau4
- Messages : 2978
- Inscription : dim. juil. 20, 2008 3:59 pm
- Localisation : Sept-Îles
- Contact :
-
Hyppolite20093
- niveau3
- Messages : 695
- Inscription : mer. nov. 18, 2009 4:59 pm
- Localisation : Trois-Rivières
savoir aimer
Premièrement afin qu’il y ait un début à l’amour il faut qu’il y ait une rencontre.
Mais cela ne suffit pas naturellement sinon nous passerions notre temps à «tomber» en amour. Il faut être attiré par l’autre et que cela soit réciproque. C’est la phase amoureuse dite «physique» impliquant une part importante de nos sens. On regarde l’autre personne, elle nous plaît. On la trouve belle. Bien sûr, il y a ces beautés universelles que presque tout le monde trouve belles mais il y a aussi ces beautés naturelles, populaires, que nous croisons tous les jours et qui ne sont belles que pour un certain nombre d’entre nous. Puis l’autre nous regarde, nos yeux se croisent, nos pupilles se dilatent un bref instant. Un contact subtil s’est fait. On aime ce regard.
Ensuite on se parle, on s’écoute mutuellement.
Puis, on sent l’autre, on aime l’odeur de son parfum. Et finalement, on touche l’autre et ce toucher nous plaît. L’autre est entré dans notre champ personnel, on a laissé l’autre entrer dans notre univers, notre bulle, on s’est senti bien dans le sien.
Ce toucher prend réellement un caractère amoureux lorsqu’il se transforme en goûter dans le geste simple, mais combien significatif, du baiser. Ces différentes sensations se conjuguent, changent dans leur fréquence, leur intensité, leur qualité, leur quantité mais doivent demeurer pour que l’amour persiste. Physiquement parlant vous ne pouvez plus aimer quelqu’un dont le toucher vous répugne. Physiquement parlant l’amour rapproche, donc, tout besoin chronique d’un éloignement est un signe évident de non-amour.
C’est ce plan physique qui crée le moteur de nos mains, l’accélération de notre rythme cardiaque, notre énervement, notre chaleur corporelle, notre perte de concentration. On peut dire qu’au tout début des premières rencontres, nous sommes physiologiquement, organiquement amoureux.
En deuxième lieu, l’amour devient acceptation de l’autre. C’est le plan amoureux dit émotionnel. On doit accepter l’autre tel qu’il est et non comme on voudrait qu’il soit. Tom ber en amour en espérant, cherchant ou tentant de changer l’autre personne est voué à l’échec. On ne peut modeler l’autre à notre image. Le respect de la différence c’est l’amour affection. Ici ce n’est pas les sens qui priment, mais plutôt les mots et les comportements. C’est l’amour tendresse où on doit prouver son attachement.
C’est là qu’on se comprend, qu’on devient complice, qu’on partage nos pensées, nos idées, nos valeurs. C’est ici qu’on se fait totalement confiance. C’est là aussi qu’on planifie, qu’on se sécurise, qu’on envisage un lendemain. St-Exupéry disait «L’amour ce n’est pas se regarder l’un l’autre, mais plutôt regarder tous les deux dans la même direction». Nous, nous dirons simplement être sur la même longueur d’onde, avoir des projets communs.
En troisième lieu, pour aimer, il faut s’adapter socialement à ;’autre. Cela veut dire être en mesure de partager le monde externe de l’autre ou du moins accepter que l’autre vive aussi des choses en dehors de la cellule exclusivement composée par le couple. On ne peut aimer l’autre si on ne respecte pas son métier, sa profession. On ne peut aimer l’autre si on n respecte pas sa culture. Nos grands-parents disaient «Qui prend mari, prend pays». Cet adage n’était pas tant géographique que culturel. Aimer l’autre signifie accepter sa langue, sa race, sa religion, ses coutumes et surtout sa famille. Nul besoin d’aimer toute la famille de l’autre, amis il ne faut pas la détruire. L’adaptation sociale c’est aussi prendre pour acquis que l’autre a le droit d’avoir des amis propres.
Ainsi, l’amour conjugal est formé de l’amour-physique, de l’amour-acceptation de l’autre et de l’amour-adaptation-sociale.
C’est l’amour physique qui nous fait devenir l’autre tout en se transcendant soi-même, en se parachevant dans une relation sexuelle mature, intime et responsable qui donnera place, qui sait, à la procréation dans le plaisir.
L’amour acceptation de l’autre signifie respecter l’autre et en être digne, avoir des attentes réalistes l’un par rapport à l’autre, être actif dans la satisfaction de nos besoins réciproques. S’en gager dans la cause légitime du «Nous» tout en ne reniant pas le «Je».
L’amour adaptation sociale c’est accompagner l’autre dans ses activités sociales, culturelles, sportives ou spirituelles, même si cela ne correspond pas tout à fait à notre propre philosophie. C’est l’ouverture du couple vers le monde. L’amour doit permettre à chacun des partenaires de se développer et non de régresser.
Pour résumer, je dirais que si l’on n’aime pas l’autre à la fois sensuellement, affectivement et socialement, nous ne l’aimons pas vraiment. Cela signifie aussi qu’à plus ou moins court terme, des dissensions majeures apparaîtront dans le couple émanant de la frustration, elle-même causée par des réponses inadéquates à nos propres besoins.
Et si le couple persiste à endurer une situation de fait qui ne convient pas aux deux partis, le risque est grand qu’un ou plusieurs enfants manifestent des symptômes physiques ou psychologiques sérieux.
Parler du couple sans revenir à la théorie de John Gray à l’effet que les femmes viennent de Vénus et les hommes viennent de Mars serait comme de décrire la sauce bolognaise pour les spaghettis en oubliant les tomates!
Je ne sais pas si Guy A. Lepage s’en est inspiré pour son célèbre «Un gars, une fille» ou si sans le savoir il interprétait cette théorie au petit écran. Quoiqu’il en soit cela m’apparaît tout à fait vraisemblable.
Moi en tout cas je m’y reconnais. La différence et en même temps la complémentarité des deux genres y sont si frappantes et représentent un cours accéléré de psychologie du couple avec l’humour en prime.
Le respect
Nul ne doute que la communication est le ciment du couple et qu’il n’y a pas de véritable communication sans respect. C’est lui qui nous permet de comprendre l’autre; d’accepter l’autre comme il est sans tenter continuellement de le changer.
Le respect se manifeste dans le langage employé pour s’adresser à l’autre mais aussi dans chacun de nos comportements.
Respecter l’autre signifie laisser l’autre libre d’être lui-même avec ses valeurs, ses croyances, ses idées, sa propre manière de faire les choses, ses goûts, ses craintes, ses humeurs, ses qualités et ses défauts.
La grossesse
La grossesse peut être une période magique pour le couple. Le couple se transcende dans l’avenir à travers une troisième vie. Cela demande de l’abnégation de chacun des futurs parents.
Personnellement, je trouvais ma femme très belle et elle l’est encore! J’aimais ses formes généreuses, sa moue, son teint, sa paresse naturelle.
Je me sentais vieillir d’un cran en termes de responsabilités.
Je me croyais éternel.
Le pardon
La capacité du couple à se pardonner est l’autre ami du respect. Accepter que l’autre n’est pas parfait et qu’il peut faire des erreurs est tout à fait et simplement humain.
Je sais pertinemment que tous les deux ou trois ans, ma femme ira frotter son automobile sur un poteau ou borne fontaine, et c’est comme ça! C’est mon Golgotha; je dois lui pardonner et me compter chanceux qu’elle ne soit pas blessée.
Mais cela ne suffit pas naturellement sinon nous passerions notre temps à «tomber» en amour. Il faut être attiré par l’autre et que cela soit réciproque. C’est la phase amoureuse dite «physique» impliquant une part importante de nos sens. On regarde l’autre personne, elle nous plaît. On la trouve belle. Bien sûr, il y a ces beautés universelles que presque tout le monde trouve belles mais il y a aussi ces beautés naturelles, populaires, que nous croisons tous les jours et qui ne sont belles que pour un certain nombre d’entre nous. Puis l’autre nous regarde, nos yeux se croisent, nos pupilles se dilatent un bref instant. Un contact subtil s’est fait. On aime ce regard.
Ensuite on se parle, on s’écoute mutuellement.
Puis, on sent l’autre, on aime l’odeur de son parfum. Et finalement, on touche l’autre et ce toucher nous plaît. L’autre est entré dans notre champ personnel, on a laissé l’autre entrer dans notre univers, notre bulle, on s’est senti bien dans le sien.
Ce toucher prend réellement un caractère amoureux lorsqu’il se transforme en goûter dans le geste simple, mais combien significatif, du baiser. Ces différentes sensations se conjuguent, changent dans leur fréquence, leur intensité, leur qualité, leur quantité mais doivent demeurer pour que l’amour persiste. Physiquement parlant vous ne pouvez plus aimer quelqu’un dont le toucher vous répugne. Physiquement parlant l’amour rapproche, donc, tout besoin chronique d’un éloignement est un signe évident de non-amour.
C’est ce plan physique qui crée le moteur de nos mains, l’accélération de notre rythme cardiaque, notre énervement, notre chaleur corporelle, notre perte de concentration. On peut dire qu’au tout début des premières rencontres, nous sommes physiologiquement, organiquement amoureux.
En deuxième lieu, l’amour devient acceptation de l’autre. C’est le plan amoureux dit émotionnel. On doit accepter l’autre tel qu’il est et non comme on voudrait qu’il soit. Tom ber en amour en espérant, cherchant ou tentant de changer l’autre personne est voué à l’échec. On ne peut modeler l’autre à notre image. Le respect de la différence c’est l’amour affection. Ici ce n’est pas les sens qui priment, mais plutôt les mots et les comportements. C’est l’amour tendresse où on doit prouver son attachement.
C’est là qu’on se comprend, qu’on devient complice, qu’on partage nos pensées, nos idées, nos valeurs. C’est ici qu’on se fait totalement confiance. C’est là aussi qu’on planifie, qu’on se sécurise, qu’on envisage un lendemain. St-Exupéry disait «L’amour ce n’est pas se regarder l’un l’autre, mais plutôt regarder tous les deux dans la même direction». Nous, nous dirons simplement être sur la même longueur d’onde, avoir des projets communs.
En troisième lieu, pour aimer, il faut s’adapter socialement à ;’autre. Cela veut dire être en mesure de partager le monde externe de l’autre ou du moins accepter que l’autre vive aussi des choses en dehors de la cellule exclusivement composée par le couple. On ne peut aimer l’autre si on ne respecte pas son métier, sa profession. On ne peut aimer l’autre si on n respecte pas sa culture. Nos grands-parents disaient «Qui prend mari, prend pays». Cet adage n’était pas tant géographique que culturel. Aimer l’autre signifie accepter sa langue, sa race, sa religion, ses coutumes et surtout sa famille. Nul besoin d’aimer toute la famille de l’autre, amis il ne faut pas la détruire. L’adaptation sociale c’est aussi prendre pour acquis que l’autre a le droit d’avoir des amis propres.
Ainsi, l’amour conjugal est formé de l’amour-physique, de l’amour-acceptation de l’autre et de l’amour-adaptation-sociale.
C’est l’amour physique qui nous fait devenir l’autre tout en se transcendant soi-même, en se parachevant dans une relation sexuelle mature, intime et responsable qui donnera place, qui sait, à la procréation dans le plaisir.
L’amour acceptation de l’autre signifie respecter l’autre et en être digne, avoir des attentes réalistes l’un par rapport à l’autre, être actif dans la satisfaction de nos besoins réciproques. S’en gager dans la cause légitime du «Nous» tout en ne reniant pas le «Je».
L’amour adaptation sociale c’est accompagner l’autre dans ses activités sociales, culturelles, sportives ou spirituelles, même si cela ne correspond pas tout à fait à notre propre philosophie. C’est l’ouverture du couple vers le monde. L’amour doit permettre à chacun des partenaires de se développer et non de régresser.
Pour résumer, je dirais que si l’on n’aime pas l’autre à la fois sensuellement, affectivement et socialement, nous ne l’aimons pas vraiment. Cela signifie aussi qu’à plus ou moins court terme, des dissensions majeures apparaîtront dans le couple émanant de la frustration, elle-même causée par des réponses inadéquates à nos propres besoins.
Et si le couple persiste à endurer une situation de fait qui ne convient pas aux deux partis, le risque est grand qu’un ou plusieurs enfants manifestent des symptômes physiques ou psychologiques sérieux.
Parler du couple sans revenir à la théorie de John Gray à l’effet que les femmes viennent de Vénus et les hommes viennent de Mars serait comme de décrire la sauce bolognaise pour les spaghettis en oubliant les tomates!
Je ne sais pas si Guy A. Lepage s’en est inspiré pour son célèbre «Un gars, une fille» ou si sans le savoir il interprétait cette théorie au petit écran. Quoiqu’il en soit cela m’apparaît tout à fait vraisemblable.
Moi en tout cas je m’y reconnais. La différence et en même temps la complémentarité des deux genres y sont si frappantes et représentent un cours accéléré de psychologie du couple avec l’humour en prime.
Le respect
Nul ne doute que la communication est le ciment du couple et qu’il n’y a pas de véritable communication sans respect. C’est lui qui nous permet de comprendre l’autre; d’accepter l’autre comme il est sans tenter continuellement de le changer.
Le respect se manifeste dans le langage employé pour s’adresser à l’autre mais aussi dans chacun de nos comportements.
Respecter l’autre signifie laisser l’autre libre d’être lui-même avec ses valeurs, ses croyances, ses idées, sa propre manière de faire les choses, ses goûts, ses craintes, ses humeurs, ses qualités et ses défauts.
La grossesse
La grossesse peut être une période magique pour le couple. Le couple se transcende dans l’avenir à travers une troisième vie. Cela demande de l’abnégation de chacun des futurs parents.
Personnellement, je trouvais ma femme très belle et elle l’est encore! J’aimais ses formes généreuses, sa moue, son teint, sa paresse naturelle.
Je me sentais vieillir d’un cran en termes de responsabilités.
Je me croyais éternel.
Le pardon
La capacité du couple à se pardonner est l’autre ami du respect. Accepter que l’autre n’est pas parfait et qu’il peut faire des erreurs est tout à fait et simplement humain.
Je sais pertinemment que tous les deux ou trois ans, ma femme ira frotter son automobile sur un poteau ou borne fontaine, et c’est comme ça! C’est mon Golgotha; je dois lui pardonner et me compter chanceux qu’elle ne soit pas blessée.
Des fois, plus ça change plus c'est pareil.
Quand on ne sait pas où on va, on va nul part.
Paul Watzlawick
Quand on ne sait pas où on va, on va nul part.
Paul Watzlawick
-
JMajor
- niveau2
- Messages : 235
- Inscription : ven. mai 01, 2009 10:12 pm
- Localisation : St-Constant
Y a t'il une meilleure description de ce qu'est l'amour que celle que vient de nous décrire Hyppolite20093? Je ne crois pas car pour moi Hyppolite20093 a exactement décrit ce que c'est que d'aimer.
Fier Fils de Léo Major, DCM & Bar. Pour savoir pourquoi je suis fier vous n'avez qu'à taper Léo Major dans Google.
-
Hyppolite20093
- niveau3
- Messages : 695
- Inscription : mer. nov. 18, 2009 4:59 pm
- Localisation : Trois-Rivières
-
Petite@Fleur
- niveau4
- Messages : 4666
- Inscription : lun. oct. 20, 2008 2:41 pm
- Localisation : France
Re: savoir aimer
Alors ça, c'est PETITHyppolite20093 a écrit : .....
....
....
.......
Je sais pertinemment que tous les deux ou trois ans, ma femme ira frotter son automobile sur un poteau ou borne fontaine, et c’est comme ça! C’est mon Golgotha; je dois lui pardonner et me compter chanceux qu’elle ne soit pas blessée.
Un si long post plein de respect et d'amour, gâché par les 4 petites lignes finales ......
[color=red] Oser toujours, céder parfois, renoncer [b]JAMAIS[/b] [/color]
-
joua
- niveau3
- Messages : 1191
- Inscription : lun. mars 16, 2009 12:21 pm
- Localisation : Ici là
- Contact :
-
VirtuoseII
- niveau3
- Messages : 1377
- Inscription : lun. oct. 05, 2009 2:30 pm
- Localisation : Québec
-
Hyppolite20093
- niveau3
- Messages : 695
- Inscription : mer. nov. 18, 2009 4:59 pm
- Localisation : Trois-Rivières
Excusez-moi Mme la duchesse si je vous ai froissée, ce n'était pas mon intention.
Mon propos tend à prouver que l'amour avec un grand A est plus grand que l'être aimé, qui lui, n'est pas parfait, simplement un humain.
Ronsard, de Musset et autres célébrissimes poètes nous exaltent par leurs rimes romanesques mais n'empêche ce n'est pas parce que l'on aime quelqu'un que cette personne ne nous énerve jamais...surtout lorsqu'il s'agit d'un char !
Mon propos tend à prouver que l'amour avec un grand A est plus grand que l'être aimé, qui lui, n'est pas parfait, simplement un humain.
Ronsard, de Musset et autres célébrissimes poètes nous exaltent par leurs rimes romanesques mais n'empêche ce n'est pas parce que l'on aime quelqu'un que cette personne ne nous énerve jamais...surtout lorsqu'il s'agit d'un char !
Des fois, plus ça change plus c'est pareil.
Quand on ne sait pas où on va, on va nul part.
Paul Watzlawick
Quand on ne sait pas où on va, on va nul part.
Paul Watzlawick
-
VirtuoseII
- niveau3
- Messages : 1377
- Inscription : lun. oct. 05, 2009 2:30 pm
- Localisation : Québec
Il n'y a personne de froissé. Tout le monde a trouvé ça bon ! Parcontre, j'ai pas compris ce que GeorgeM voulait dire. 
Edit : Aussi j'aimerais dire autre chose, sur un forum ça déconne pas mal souvent. Je relisais ce sujet au complet, et la réponse que je donnais à KillerG comme quoi il fallait tromper sa blonde au 2 ans, c'était de la pure connerie. Je sais ce qu'est le véritable Amour, j'ai eu le bonheur de le connaître. Voilà qui est plus sérieux. Un dernier petit message aux nouveaux il faut pas tout prendre au pied de la lettre sur un forum. Les conversations sont souvent des frivolités et des fois non.
Edit : Aussi j'aimerais dire autre chose, sur un forum ça déconne pas mal souvent. Je relisais ce sujet au complet, et la réponse que je donnais à KillerG comme quoi il fallait tromper sa blonde au 2 ans, c'était de la pure connerie. Je sais ce qu'est le véritable Amour, j'ai eu le bonheur de le connaître. Voilà qui est plus sérieux. Un dernier petit message aux nouveaux il faut pas tout prendre au pied de la lettre sur un forum. Les conversations sont souvent des frivolités et des fois non.
La vérité triomphe toujours.
-
leolo
Aimer ce n'est pas mesurable, ce n’est pas comme le sexe qui est quantifiable.
C'est comme demander à P@F si elle avait à choisir entre moi et Pollen. J'espère qu'elle choisirait moi. Mais elle aurait plus de peine pour Pollen que pour moi. Vu qu'elle ne me connait pas assez.
On va attendre sa réponse.
D'après vous elle choisirait Pollen ou moi?
N.B : Pas de réponse à la va-vite.
C'est comme demander à P@F si elle avait à choisir entre moi et Pollen. J'espère qu'elle choisirait moi. Mais elle aurait plus de peine pour Pollen que pour moi. Vu qu'elle ne me connait pas assez.
On va attendre sa réponse.
D'après vous elle choisirait Pollen ou moi?
N.B : Pas de réponse à la va-vite.
-
Petite@Fleur
- niveau4
- Messages : 4666
- Inscription : lun. oct. 20, 2008 2:41 pm
- Localisation : France
Faire un choix ? 
Mais pourquoi vouloir me faire choisir ?
Je garde ma Pollen, fidèle et franche, indispensable. Et je prends aussi les gens qui me sont sympatiques, et qui me trouvent sympatiques, pour un petit bout de chemin ou pour toute la vie, pour une amitié ou pas, ça dépend de ce qu'ils veulent. Je ne suis pas du genre à m'accrocher quand les gens se lassent, et s'ils me font sentir qu'ils ont changé d'avis, je tire ma révérence.
Pas de choix, donc, je prends tout ce que m'offre la vie, ce qui inclut Pollen sans l'ombre d'un doute
Mais pourquoi vouloir me faire choisir ?Je garde ma Pollen, fidèle et franche, indispensable. Et je prends aussi les gens qui me sont sympatiques, et qui me trouvent sympatiques, pour un petit bout de chemin ou pour toute la vie, pour une amitié ou pas, ça dépend de ce qu'ils veulent. Je ne suis pas du genre à m'accrocher quand les gens se lassent, et s'ils me font sentir qu'ils ont changé d'avis, je tire ma révérence.
Pas de choix, donc, je prends tout ce que m'offre la vie, ce qui inclut Pollen sans l'ombre d'un doute
[color=red] Oser toujours, céder parfois, renoncer [b]JAMAIS[/b] [/color]
-
Hyppolite20093
- niveau3
- Messages : 695
- Inscription : mer. nov. 18, 2009 4:59 pm
- Localisation : Trois-Rivières
-
leolo
C'est ça l'amour un chien pour certains vaut plus qu'un être humain. Comme je disais l’amour, ce n'est pas quantifiable.Petite@Fleur a écrit :Faire un choix ?
Je garde ma Pollen, fidèle et franche, indispensable. Et je prends aussi les gens qui me sont sympatiques, et qui me trouvent sympatiques, pour un petit bout de chemin ou pour toute la vie, pour une amitié ou pas, ça dépend de ce qu'ils veulent. Je ne suis pas du genre à m'accrocher quand les gens se lassent, et s'ils me font sentir qu'ils ont changé d'avis, je tire ma révérence.
Pas de choix, donc, je prends tout ce que m'offre la vie, ce qui inclut Pollen sans l'ombre d'un doute
-
Petite@Fleur
- niveau4
- Messages : 4666
- Inscription : lun. oct. 20, 2008 2:41 pm
- Localisation : France